Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, marchant sur des oeufs à l'avant-veille de la publication du procès-verbal de la dernière prise de cap de son émettrice, sur fond de bruits savamment distillés concernant une éventuelle diminution de ses coups de pouce.
En première partie de séance européenne, il n'a pas fléchi devant le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,01% pour se retrouver à 97,61.
La monnaie nippone avait vu son blason terni après que le Japon ait enregistré à l'aube pour son commerce extérieur un déficit de 1,024 billions de JPY, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.
Les observateurs guettent aussi pour après-demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,01% pour grimper à 1,3327.
Mais la monnaie unique demeurait en même temps soutenu au-dessus des 1,3300, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,12% pour se hisser à 1,5642.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi le mois passé, alors que les ventes au détail dépassaient les espérances, renforçant les espoirs de relance nationale.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF émergeant de 0,04% pour pointer à 1,5642.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,25% pour monter à 0,9204, le NZD/USD engrangeant 0,59% pour culminer à 0,8151 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0327.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient auparavant fait savoi que les prix à la consommation avaient sans surprise augmenté de 0,6% au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de à,02% pour se situer à 81,33.
En première partie de séance européenne, il n'a pas fléchi devant le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,01% pour se retrouver à 97,61.
La monnaie nippone avait vu son blason terni après que le Japon ait enregistré à l'aube pour son commerce extérieur un déficit de 1,024 billions de JPY, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.
Les observateurs guettent aussi pour après-demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,01% pour grimper à 1,3327.
Mais la monnaie unique demeurait en même temps soutenu au-dessus des 1,3300, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,12% pour se hisser à 1,5642.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi le mois passé, alors que les ventes au détail dépassaient les espérances, renforçant les espoirs de relance nationale.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF émergeant de 0,04% pour pointer à 1,5642.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,25% pour monter à 0,9204, le NZD/USD engrangeant 0,59% pour culminer à 0,8151 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0327.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient auparavant fait savoi que les prix à la consommation avaient sans surprise augmenté de 0,6% au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de à,02% pour se situer à 81,33.