Investing.com - La livre sterling a pris la main face au dollar U.S. ce vendredi, encouragée par de belles performances là où elle a cours, sur fond d'incertitudes prolongées concernant les orientations futures de l'émettrice de son adversaire.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5638 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis avant-hier, puis s'est stabilisée vers 1,5623, gagnant 0,28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5562, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5718, son plafond mensuel établi mercredi.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé le sourire après qu'il ait été mis en évidence une augmentation de 0,7% du produit intérieur brut du pays, dépassant légèrement les 0,6% envisagés.
Le bureau britannique des statistiques a ajouté dans une étude préliminaire que les entreprises avaient investi 0,9% supplémentaires au second trimestre, une bonne surprise au regard des 0,6% anticipés après le faux pas de 1,9% enregistré sur les trois premiers mois de l'année.
Il était aussi à noter que le volume national des prêts hypothécaires avait moins gonflé en juillet que prédit, ajoutant 37.200 GBP après les 37.300 précédents, au alors que 38.800 étaient pressentis pour la période considérée.
Mais la nervosité était de mise, après que la déception sur le front de l'emploi des Etats-Unis ait tout fait sauf dissiper le flou portant sur le moment où leur banque centrale des Etats-Unis devrait diminuer l'ampleur de ses coups de pouce.
Le département d'état au travail américain avait dénombré hier 13.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 17 août, pour un total hebdomadaire de 336.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 7.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,22% pour glisser à 0,8549.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5638 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis avant-hier, puis s'est stabilisée vers 1,5623, gagnant 0,28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5562, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5718, son plafond mensuel établi mercredi.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé le sourire après qu'il ait été mis en évidence une augmentation de 0,7% du produit intérieur brut du pays, dépassant légèrement les 0,6% envisagés.
Le bureau britannique des statistiques a ajouté dans une étude préliminaire que les entreprises avaient investi 0,9% supplémentaires au second trimestre, une bonne surprise au regard des 0,6% anticipés après le faux pas de 1,9% enregistré sur les trois premiers mois de l'année.
Il était aussi à noter que le volume national des prêts hypothécaires avait moins gonflé en juillet que prédit, ajoutant 37.200 GBP après les 37.300 précédents, au alors que 38.800 étaient pressentis pour la période considérée.
Mais la nervosité était de mise, après que la déception sur le front de l'emploi des Etats-Unis ait tout fait sauf dissiper le flou portant sur le moment où leur banque centrale des Etats-Unis devrait diminuer l'ampleur de ses coups de pouce.
Le département d'état au travail américain avait dénombré hier 13.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 17 août, pour un total hebdomadaire de 336.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 7.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,22% pour glisser à 0,8549.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs.