Investing.com - Les options sur le brut ont conclu sur une fausse note de plus de 1%, limitant ainsi son ascension hebdomadaire alors que s'éloignait la menace d'une offensive des Etats-Unis contre la Syrie.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 107,66 USD le baril à la clôture des transactions, en recul de 1,05%, après avoir conclu la veille à 108,80 USD, avec une déconvenue de 1,2%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 105,58 USD, leur plancher du 26 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 110,03 USD, leur pic du 29 août.
Ils auront tout de même empoché 1,2% hebdomadaires.
Le secrétaire d'état américain chargé des affaires étrangères John Kerry avait affirmé vendredi que son pays punirait le chef de l'état syrien Bachar el-Assad, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique "brutale et flagrante".
Le présidnt Barack Obama a cependant fait savoir dans la soirée qu'aucune décision en ce sens n'avait encore été prise.
Le parlement britannique avait écarté la veille l'hypothèse d'une participation, de même de l'Allemagne.
Les cours avaient caracolé mercredi à 112,22 USD, leur niveau le plus élevé en 27 mois, en raison des bruits annonçant une action imminente.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Les observateurs craignent particulièrement une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
Il ne fallait pas non plus négliger l'impact du renforcement du dollar U.S. découlant des rumeurs d'un tour de vis imminent de son émettrice en raison de résultats plutôt positifs.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, prenait quand à lui à,12% pour se situer à 82,11, son niveau le plus élevé depuis le 2 août.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le baromètre révisé de l'humeur des consommateurs établi pour le mois passé par Thomson Reuters et l'université du Michigan a en effet été revu à la hausse depuis les 80,0 estimés au préalable vers 82,0, dépassant ainsi les 80,5 envisagés.
L'indice crucial des directeurs des achats dans la région de Chicago est aussi remonté sans surprise de 52,3 à 53,0 pour août.
La croissance nationale avait aussi été fortement révisée vers le haut lors de la journée précédente, laissant espérer une poursuite de la relance.
Le département d'état au commerce américain avait ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Les bons résultats récemment dévoilés ont de nouveau alimenté les rumeurs d'une diminution des coups de pouce de la Réserve Fédérale dès le mois prochain, en raison des signes de consolidation de la reprise.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le rapport sur l'emploi hors agriculture des Etats-Unis sera vendredi sur toutes les lèvres, sur fond de rumeurs d'une fermeture des vannes de la part de leur banque centrale.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Elle se réunira les 17 et 18 septembre afin d'évaluer l'état de l'économie, et les mesures à prendre en conséquence.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour le mois prochain ont pour leur part dérapé de 1% vendredi pour glisser à 114,04 USD du baril.
Elles auront tout de même bondi de 2,6% depuis l'ouverture de lundi, pour s'établir à 6,38 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La session de mercredi les avait elles aussi vues établir un sommet, avec 117,32 USD, le plus élevé depuis le 20 février.
La banque française Société Générale avait auparavant déclaré qu'ils pourraient s'envoler jusqu'à 150 USD en cas de perturbation des flux gravitant autour de la méditerranée.
La région comprenant le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord représente 36% de la capacité de la planète, et détenait 52% de ses réserves avérées en 2012.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 107,66 USD le baril à la clôture des transactions, en recul de 1,05%, après avoir conclu la veille à 108,80 USD, avec une déconvenue de 1,2%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 105,58 USD, leur plancher du 26 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 110,03 USD, leur pic du 29 août.
Ils auront tout de même empoché 1,2% hebdomadaires.
Le secrétaire d'état américain chargé des affaires étrangères John Kerry avait affirmé vendredi que son pays punirait le chef de l'état syrien Bachar el-Assad, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique "brutale et flagrante".
Le présidnt Barack Obama a cependant fait savoir dans la soirée qu'aucune décision en ce sens n'avait encore été prise.
Le parlement britannique avait écarté la veille l'hypothèse d'une participation, de même de l'Allemagne.
Les cours avaient caracolé mercredi à 112,22 USD, leur niveau le plus élevé en 27 mois, en raison des bruits annonçant une action imminente.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Les observateurs craignent particulièrement une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
Il ne fallait pas non plus négliger l'impact du renforcement du dollar U.S. découlant des rumeurs d'un tour de vis imminent de son émettrice en raison de résultats plutôt positifs.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, prenait quand à lui à,12% pour se situer à 82,11, son niveau le plus élevé depuis le 2 août.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le baromètre révisé de l'humeur des consommateurs établi pour le mois passé par Thomson Reuters et l'université du Michigan a en effet été revu à la hausse depuis les 80,0 estimés au préalable vers 82,0, dépassant ainsi les 80,5 envisagés.
L'indice crucial des directeurs des achats dans la région de Chicago est aussi remonté sans surprise de 52,3 à 53,0 pour août.
La croissance nationale avait aussi été fortement révisée vers le haut lors de la journée précédente, laissant espérer une poursuite de la relance.
Le département d'état au commerce américain avait ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Les bons résultats récemment dévoilés ont de nouveau alimenté les rumeurs d'une diminution des coups de pouce de la Réserve Fédérale dès le mois prochain, en raison des signes de consolidation de la reprise.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le rapport sur l'emploi hors agriculture des Etats-Unis sera vendredi sur toutes les lèvres, sur fond de rumeurs d'une fermeture des vannes de la part de leur banque centrale.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Elle se réunira les 17 et 18 septembre afin d'évaluer l'état de l'économie, et les mesures à prendre en conséquence.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour le mois prochain ont pour leur part dérapé de 1% vendredi pour glisser à 114,04 USD du baril.
Elles auront tout de même bondi de 2,6% depuis l'ouverture de lundi, pour s'établir à 6,38 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La session de mercredi les avait elles aussi vues établir un sommet, avec 117,32 USD, le plus élevé depuis le 20 février.
La banque française Société Générale avait auparavant déclaré qu'ils pourraient s'envoler jusqu'à 150 USD en cas de perturbation des flux gravitant autour de la méditerranée.
La région comprenant le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord représente 36% de la capacité de la planète, et détenait 52% de ses réserves avérées en 2012.