Investing.com - Le dollar U.S. était à la peine face à la plupart de ses concurrents ce après-midi, faisant peu cas de résultats décevants concernant le marché du logement des Etats-Unis, dans l'expectative des conclusions de la réunion mensuelle de leur banque centrale.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,20% pour se retrouver à 99,92.
Les autorités américaines ont en effet délivré après ajustement 3,8% de permis de construire de moins, faisant passer leur total de 954 à 918.000 pour août, alors qu'un trou d'air de 0,4% pour les amener à 950.000 était déjà redouté.
Elles ont d'autre part constaté que les lancements de chantiers n'avaient augmenté que de 0,9% corrigés dans le même temps, partant des 883.000 revus à la hausse de juillet jusqu'à 891.000, alors qu'un sursaut de 3% pour les faire caracoler à 917.000 étati espéré.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées dans le pays, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,39% pour se hisser à 1,5966, aux abords d'un pic de huit mois, après qu'il ait été montré qu'aucun des membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre n'était partisan d'ouvrir davantage les vannes.
Le procès-verbal de la réunion qu'elle a tenue en début de mois a en effet montré que ses décideurs avaient voté à l'unanimité le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Ils exprimaient également leur foi dans la solidification de la relance, mettant en relief les signaux positifs émis par le bloc euro voisin.
Elle a aussi rappelé qu'elle ne réduirait pas automatiquement les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers dès que le chômage britannique repassera sous les 7%.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,09% pour reprendre pied à 1,3345.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré hier que le oral économique de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son meilleur niveau depuis avril 2010, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,05% pour s'élever à 0,9264.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,05% pour descenddre à 0,9350, le NZD/USD laissant échapper 0,16% pour toucher le fond à 0,8226 et l'USD/CAD arrachant 0,15% pour aller vers 1,0310.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,01% pour se situer à 81,29.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,20% pour se retrouver à 99,92.
Les autorités américaines ont en effet délivré après ajustement 3,8% de permis de construire de moins, faisant passer leur total de 954 à 918.000 pour août, alors qu'un trou d'air de 0,4% pour les amener à 950.000 était déjà redouté.
Elles ont d'autre part constaté que les lancements de chantiers n'avaient augmenté que de 0,9% corrigés dans le même temps, partant des 883.000 revus à la hausse de juillet jusqu'à 891.000, alors qu'un sursaut de 3% pour les faire caracoler à 917.000 étati espéré.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées dans le pays, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,39% pour se hisser à 1,5966, aux abords d'un pic de huit mois, après qu'il ait été montré qu'aucun des membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre n'était partisan d'ouvrir davantage les vannes.
Le procès-verbal de la réunion qu'elle a tenue en début de mois a en effet montré que ses décideurs avaient voté à l'unanimité le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Ils exprimaient également leur foi dans la solidification de la relance, mettant en relief les signaux positifs émis par le bloc euro voisin.
Elle a aussi rappelé qu'elle ne réduirait pas automatiquement les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers dès que le chômage britannique repassera sous les 7%.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,09% pour reprendre pied à 1,3345.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré hier que le oral économique de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son meilleur niveau depuis avril 2010, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,05% pour s'élever à 0,9264.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,05% pour descenddre à 0,9350, le NZD/USD laissant échapper 0,16% pour toucher le fond à 0,8226 et l'USD/CAD arrachant 0,15% pour aller vers 1,0310.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,01% pour se situer à 81,29.