Investing.com - Les options sur l'or oscillaient entre légers gains et pertes minimes ce jeudi matin, sur fond d'incertitudes concernant les aides de la banque centrale des Etats-Unis, tandis que leur budget se situait encore au centre des débats.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.304,70 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,2%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette de moins de 10 USD située entre 1.300,60 USD, leur pire cours journalier, et 1.308,70 USD, leur meilleur, après avoir conclu lors de la session précédente à 1.307,20 USD, suite à un passage à vide de 1,31%.
Elles avaient touché le fond hier à 1.294,60 USD, son pire niveau depuis le 2 octobre.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.278,20 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1.330,10 USD, leur plafond du 8 octobre.
Le procès-verbal de la réunion tenue en septembre par la comité directeur de la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet que la décision en faveur du statu quo concernant ses 85 milliards d'USD d'apports de capitaux avait été prise "de justesse".
La plupart de ses membres estimait possible qu'elle commence à fermer ses robinets d'ici la fin d'année.
Elle avait supris certains analystes en déclarant le mois passé qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Les retards dans les divulgations des statistiques, comme le rapport crucial sur l'emploi non agricole pour septembre, en raison des retards entraînés par la paralysie des administrations, sapaient pour leur part la crédibilité des rumeurs de réduction de la voilure de ses rachats d'actifs mensuels.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Le chef de l'état américain Barack Obama a aussi annoncé hier sa nomination de la vice-présidente Janet Yellen à la tête de la Réserve Fédérale, laissant espérer qu'elle exercerait dessus une influence stabilisatrice après la fin le 31 janvier du mandat de Ben Bernanke.
Le bras de fer politique aux Etats-Unis et la paralysie de leurs administrations qu'il a entraîné depuis le premier octobre continuaient à faire des gorges chaudes.
Le président Obama a estimé que l'opposition républicaine devait relever la limite de la dette maximale et permettre de mettre fin aux débrayages des fonctionnaires afin que les négociation sur la politique fiscales puissent se dérouler dans la sérénité, un défaut de paiement risquant d'avoir lieu le 17 octobre en l'absence de résolution.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0,1% pour glisser à 21,87 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont trébuché de 0,05% pour se retrouver à 3,229 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.304,70 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,2%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette de moins de 10 USD située entre 1.300,60 USD, leur pire cours journalier, et 1.308,70 USD, leur meilleur, après avoir conclu lors de la session précédente à 1.307,20 USD, suite à un passage à vide de 1,31%.
Elles avaient touché le fond hier à 1.294,60 USD, son pire niveau depuis le 2 octobre.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.278,20 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1.330,10 USD, leur plafond du 8 octobre.
Le procès-verbal de la réunion tenue en septembre par la comité directeur de la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet que la décision en faveur du statu quo concernant ses 85 milliards d'USD d'apports de capitaux avait été prise "de justesse".
La plupart de ses membres estimait possible qu'elle commence à fermer ses robinets d'ici la fin d'année.
Elle avait supris certains analystes en déclarant le mois passé qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Les retards dans les divulgations des statistiques, comme le rapport crucial sur l'emploi non agricole pour septembre, en raison des retards entraînés par la paralysie des administrations, sapaient pour leur part la crédibilité des rumeurs de réduction de la voilure de ses rachats d'actifs mensuels.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Le chef de l'état américain Barack Obama a aussi annoncé hier sa nomination de la vice-présidente Janet Yellen à la tête de la Réserve Fédérale, laissant espérer qu'elle exercerait dessus une influence stabilisatrice après la fin le 31 janvier du mandat de Ben Bernanke.
Le bras de fer politique aux Etats-Unis et la paralysie de leurs administrations qu'il a entraîné depuis le premier octobre continuaient à faire des gorges chaudes.
Le président Obama a estimé que l'opposition républicaine devait relever la limite de la dette maximale et permettre de mettre fin aux débrayages des fonctionnaires afin que les négociation sur la politique fiscales puissent se dérouler dans la sérénité, un défaut de paiement risquant d'avoir lieu le 17 octobre en l'absence de résolution.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0,1% pour glisser à 21,87 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont trébuché de 0,05% pour se retrouver à 3,229 USD la livre dans le même temps.