Investing.com - Les options sur le brut ont connu ce mardi leur cinquième jour de baisse consécutif, tombant à leur pire cours des 8 dernières semaines sur fond d'attente d'une seconde augmentation d'affilée des réserves américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 86.38 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.42%.
Ils avaient auparavant culminé à 86.34 USD, leur cours le plus bas depuis le 2 décembre.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait dévoiler son rapport hebdomadaire sur les stocks d'or noir du pays pour la semaine achevée le 21 janvier ce mercredi, et il est prévu qu'il mette en évidence un ajout de 1.25 millions de barils, venant s'ajouter aux 2.6 millions supplémentaires de la semaine précédente.
Les réserves des Etats-Unis sont restées supérieures aux moyennes saisonnières des 5 dernières années, et ce alors que l'hémisphère nord aurait déjà vu passer les moments les plus rigoureux de l'hiver, alimentant les craintes concernant le gonflement des stocks d'or noir.
Le déclaration faite lundi par Ali al-Naimi, ministre saoudien du pétrole, a également pesé sur les cours.
M. al-Naimi avait en effet déclaré que l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole pourrait envisager d'augmenter sa production en 2011 afin de satisfaire la hausse des besoins planétaires, tout en précisant s'attendre à ce que les prix de l'or noir restent "au même niveau que l'année passée".
La Bank of America-Merrill Lynch, pourvoyeuse internationale de services financiers, a affirmé dans un article publié dans la soirée de lundi que la remarque de M. al-Naimi "indiquait que les saoudiens se trouvent de moins en moins à l'aise avec des cours du pétrole se rapprochant des trois chiffres".
Elle a ajouté s'attendre à ce que les prix soient "un peu plus raisonnables pour les semaines à venir, les investisseurs se focalisant sur le grossissement des réserves mondiales et les mesures prises par la Chine pour lutter contre l'inflation".
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs plongé de 0.97% pour s'échanger à 4.541 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique se sont effondrées de 1.35% pour s'établir à 2.581 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 86.38 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.42%.
Ils avaient auparavant culminé à 86.34 USD, leur cours le plus bas depuis le 2 décembre.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait dévoiler son rapport hebdomadaire sur les stocks d'or noir du pays pour la semaine achevée le 21 janvier ce mercredi, et il est prévu qu'il mette en évidence un ajout de 1.25 millions de barils, venant s'ajouter aux 2.6 millions supplémentaires de la semaine précédente.
Les réserves des Etats-Unis sont restées supérieures aux moyennes saisonnières des 5 dernières années, et ce alors que l'hémisphère nord aurait déjà vu passer les moments les plus rigoureux de l'hiver, alimentant les craintes concernant le gonflement des stocks d'or noir.
Le déclaration faite lundi par Ali al-Naimi, ministre saoudien du pétrole, a également pesé sur les cours.
M. al-Naimi avait en effet déclaré que l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole pourrait envisager d'augmenter sa production en 2011 afin de satisfaire la hausse des besoins planétaires, tout en précisant s'attendre à ce que les prix de l'or noir restent "au même niveau que l'année passée".
La Bank of America-Merrill Lynch, pourvoyeuse internationale de services financiers, a affirmé dans un article publié dans la soirée de lundi que la remarque de M. al-Naimi "indiquait que les saoudiens se trouvent de moins en moins à l'aise avec des cours du pétrole se rapprochant des trois chiffres".
Elle a ajouté s'attendre à ce que les prix soient "un peu plus raisonnables pour les semaines à venir, les investisseurs se focalisant sur le grossissement des réserves mondiales et les mesures prises par la Chine pour lutter contre l'inflation".
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs plongé de 0.97% pour s'échanger à 4.541 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique se sont effondrées de 1.35% pour s'établir à 2.581 USD par gallon dans le même temps.