Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce jeudi, tombant à leur pire niveau du jour et voyant ses gains de la veille contrés, la crainte d'un accroissement des réserves américaines exerçant une pression baissière.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 86.57 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.25%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 86.31 USD, leur cours le plus bas du jour.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis annoncé mercredi dans son étude sur les stocks d'or noir pour la semaine achevée le 21 janvier que ceux-ci avaient subi une augmentation de 4.84 millions de barils, soit nettement plus que les 1.25 millions prévus.
Les réserves des Etats-Unis sont restées supérieures aux moyennes saisonnières des 5 dernières années, et ce alors que l'hémisphère nord aurait déjà vu passer les moments les plus rigoureux de l'hiver, alimentant les craintes concernant le gonflement des stocks d'or noir.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
L'agence de notation S&P a de son côté rabaissé ce matin son appréciation des dettes souveraines du Japon de AA vers AA- sous prétexte de forts déficits fiscaux nationaux ayant peu de chances de diminuer dans les années à venir.
Le Japon reste installé à la troisième place du palmarès des besoins en or noir, avec environ 3.7 millions de barils importés par jour.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a gagné 0.19% de son côté.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs perdu 0.46% pour s'échanger à 4.478 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont chuté de 0.59% pour s'établir à 2.664 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 86.57 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.25%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 86.31 USD, leur cours le plus bas du jour.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis annoncé mercredi dans son étude sur les stocks d'or noir pour la semaine achevée le 21 janvier que ceux-ci avaient subi une augmentation de 4.84 millions de barils, soit nettement plus que les 1.25 millions prévus.
Les réserves des Etats-Unis sont restées supérieures aux moyennes saisonnières des 5 dernières années, et ce alors que l'hémisphère nord aurait déjà vu passer les moments les plus rigoureux de l'hiver, alimentant les craintes concernant le gonflement des stocks d'or noir.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
L'agence de notation S&P a de son côté rabaissé ce matin son appréciation des dettes souveraines du Japon de AA vers AA- sous prétexte de forts déficits fiscaux nationaux ayant peu de chances de diminuer dans les années à venir.
Le Japon reste installé à la troisième place du palmarès des besoins en or noir, avec environ 3.7 millions de barils importés par jour.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a gagné 0.19% de son côté.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs perdu 0.46% pour s'échanger à 4.478 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont chuté de 0.59% pour s'établir à 2.664 USD par gallon dans le même temps.