Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse pour la seconde journée de cotation consécutive ce jeudi, tombant à leur pire niveau des 4 jours écoulés sur fond de craintes d'un nouveau durcissement monétaire de la part de la Chine, qui ralentirait son économie et diminuerait ses besoins en pétrole.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 90.37 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.29%.
Ils avaient auparavant culminé à 90.15 USD, leur cours le plus faible depuis le 14 janvier. Leur validité prendra fin à la clôture des échanges d'aujourd'hui.
Ceux pour mars ont été plus actifs, se retrouvant à 91.36 USD, remontant de leur creux des 4 jours passés à 91.11, mais cédant tout de même 0.45.
Les informations émanant des autorités chinoises dévoilées en début de matinée montraient en effet une augmentation du produit intérieur brut au quatrième trimestre par rapport à 2009 supérieure aux attentes, tandis que l'indice de l'inflation à la consommation progressait de manière à peine inférieure aux prévisions pour décembre, alimentant les rumeurs de mise en place de nouvelles mesures pour canaliser l'expansion effrénée de l'économie nationale.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2011.
L'institut du pétrole américain, spécialiste du secteur, a révélé dans son rapport de mercredi que les réserves américaines d'or noir pour la semaine achevée le 14 janvier avaient augmenté de 3.53 millions de barils, leur plus gros gain des 8 dernières semaines.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis devrait divulguer cet après-midi son inventaire officiel les concernant, soit un jour plus tard qu'habituellement, en raison de l'inactivité des marchés dûe au jour férié de lundi. Il devrait révéler une diminution de 1.1 millions de barils des stocks de brut au cours de la semaine dernière.
Le pays reste le premier consommateur mondial de pétrole.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs laissé échapper 0.33% pour s'échanger à 4.561 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont glissé de 0.24% pour reprendre pied à 2.65 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 90.37 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.29%.
Ils avaient auparavant culminé à 90.15 USD, leur cours le plus faible depuis le 14 janvier. Leur validité prendra fin à la clôture des échanges d'aujourd'hui.
Ceux pour mars ont été plus actifs, se retrouvant à 91.36 USD, remontant de leur creux des 4 jours passés à 91.11, mais cédant tout de même 0.45.
Les informations émanant des autorités chinoises dévoilées en début de matinée montraient en effet une augmentation du produit intérieur brut au quatrième trimestre par rapport à 2009 supérieure aux attentes, tandis que l'indice de l'inflation à la consommation progressait de manière à peine inférieure aux prévisions pour décembre, alimentant les rumeurs de mise en place de nouvelles mesures pour canaliser l'expansion effrénée de l'économie nationale.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2011.
L'institut du pétrole américain, spécialiste du secteur, a révélé dans son rapport de mercredi que les réserves américaines d'or noir pour la semaine achevée le 14 janvier avaient augmenté de 3.53 millions de barils, leur plus gros gain des 8 dernières semaines.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis devrait divulguer cet après-midi son inventaire officiel les concernant, soit un jour plus tard qu'habituellement, en raison de l'inactivité des marchés dûe au jour férié de lundi. Il devrait révéler une diminution de 1.1 millions de barils des stocks de brut au cours de la semaine dernière.
Le pays reste le premier consommateur mondial de pétrole.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs laissé échapper 0.33% pour s'échanger à 4.561 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont glissé de 0.24% pour reprendre pied à 2.65 USD par gallon dans le même temps.