Investing.com - Les options sur le brut ont régressé pour la seconde séance consécutive ce mercredi, tombannt dans un creux des 3 dernières semaines, et ce bien que les chiffres officiels aient montré une chute nettement supérieure aux attentes des réserves de pétrole au cours de la semaine dernière.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 88.31 USD le baril à l'ouverture des marchés américains, s'effondrant de 1.13%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88.11 USD, leur cours le plus bas depuis le 20 décembre.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié aujourd'hui que les réserves nationales de pétrole brut avaient nettement plus baissé au cours de la semaine achevée le 31 décembre que prévu, perdant 4.2 millions de barils après les 1.3 millions en moins enregistrés la semaine précédente.
Les experts s'étaient attendus à ne les voir descendre que de 1.4 millions de barils sur la période considérée.
Le document précisait également qu'elles se montaient au total à 335.3 millions de barils à ce moment, restant encore supérieures à la moyenne haute pour la saison.
Il était aussi indiqué que le stock total d'essence automobile avait perdu 3.3 millions de barils, tandis que ceux des carburants distillés, incluant fioul domestique et diesel, avaient gagné 1.1 millions dans le même temps.
L'étude précisait par ailleurs que la demande d'or noir était en hausse, avec une moyenne sur les 4 dernières semaines de millions de barils fournis par jour de pétrole et dérivés, soit % de plus que l'année dernière à la même époque.
Les cours ont nettement subi la hausse du billet vert par rapport à ses principaux concurrents. L'indice dollar, reflétant ses performances par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a effectivement engrangé 1.14 de son côté.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs perdu 0.52% pour s'établir à 4.588 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont laissé échapper 0.77% pour s'établir à 2.589 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 88.31 USD le baril à l'ouverture des marchés américains, s'effondrant de 1.13%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88.11 USD, leur cours le plus bas depuis le 20 décembre.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié aujourd'hui que les réserves nationales de pétrole brut avaient nettement plus baissé au cours de la semaine achevée le 31 décembre que prévu, perdant 4.2 millions de barils après les 1.3 millions en moins enregistrés la semaine précédente.
Les experts s'étaient attendus à ne les voir descendre que de 1.4 millions de barils sur la période considérée.
Le document précisait également qu'elles se montaient au total à 335.3 millions de barils à ce moment, restant encore supérieures à la moyenne haute pour la saison.
Il était aussi indiqué que le stock total d'essence automobile avait perdu 3.3 millions de barils, tandis que ceux des carburants distillés, incluant fioul domestique et diesel, avaient gagné 1.1 millions dans le même temps.
L'étude précisait par ailleurs que la demande d'or noir était en hausse, avec une moyenne sur les 4 dernières semaines de millions de barils fournis par jour de pétrole et dérivés, soit % de plus que l'année dernière à la même époque.
Les cours ont nettement subi la hausse du billet vert par rapport à ses principaux concurrents. L'indice dollar, reflétant ses performances par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a effectivement engrangé 1.14 de son côté.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs perdu 0.52% pour s'établir à 4.588 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont laissé échapper 0.77% pour s'établir à 2.589 USD par gallon dans le même temps.