Investing.com - Les options sur le brut on connu ce lundi leur quatrième jour de cotation à la baisse consécutif, pour se retrouver à leur pire niveau des 2 semaines écoulées après les remarques faites par le ministre saoudien du pétrole.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 88.35 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.88%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88.24 USD, leur cours le plus bas depuis le 10 janvier.
Ali al-Naimi, le représentant en question, avait en effet déclaré ce matin lors du forum mondial annuel sur la compétitivité se déroulant à Riyad que l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole pourrait envisager d'augmenter sa production en 2011 afin de satisfaire la hausse des besoins planétaires.
M. al-Naimi a précisé qu'il était attendu que les prix de l'or noir restent "au même niveau que l'année passée".
Le grossissement des réserves de pétrole brut américaines a lui aussi pesé sur les cours après que les résultats officiels dévoilés la semaine passée aient montré qu'elle avaient en effet progressé de manière inattendue au cours de la semaine achevée le 14 janvier, prenant 2.6 millions de barils au lieu d'en écouler 1.1 millions comme il avait été prévu.
L'étude précisait également qu'elles totalisaient 335.7 millions de barils sur la période considérée, restant encore supérieures à la moyenne haute saisonnière.
JP Morgan-Chase, pourvoyeur international de services financiers, a quand à lui estimé dans un rapport publié en fin de semaine que les investisseurs pétroliers devraient "éviter les risques et engranger des plus-values" dans la perspective d'une remontée de la production de l'OPEP.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs bondi de 1.53% pour s'échanger à 4.792 USD par million d'unités thermiques britanniques, leur meilleur niveau en 5 mois, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont trébuché de 0.06% pour s'établir à 2.657 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 88.35 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.88%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88.24 USD, leur cours le plus bas depuis le 10 janvier.
Ali al-Naimi, le représentant en question, avait en effet déclaré ce matin lors du forum mondial annuel sur la compétitivité se déroulant à Riyad que l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole pourrait envisager d'augmenter sa production en 2011 afin de satisfaire la hausse des besoins planétaires.
M. al-Naimi a précisé qu'il était attendu que les prix de l'or noir restent "au même niveau que l'année passée".
Le grossissement des réserves de pétrole brut américaines a lui aussi pesé sur les cours après que les résultats officiels dévoilés la semaine passée aient montré qu'elle avaient en effet progressé de manière inattendue au cours de la semaine achevée le 14 janvier, prenant 2.6 millions de barils au lieu d'en écouler 1.1 millions comme il avait été prévu.
L'étude précisait également qu'elles totalisaient 335.7 millions de barils sur la période considérée, restant encore supérieures à la moyenne haute saisonnière.
JP Morgan-Chase, pourvoyeur international de services financiers, a quand à lui estimé dans un rapport publié en fin de semaine que les investisseurs pétroliers devraient "éviter les risques et engranger des plus-values" dans la perspective d'une remontée de la production de l'OPEP.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs bondi de 1.53% pour s'échanger à 4.792 USD par million d'unités thermiques britanniques, leur meilleur niveau en 5 mois, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont trébuché de 0.06% pour s'établir à 2.657 USD par gallon dans le même temps.