Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, et ce bien qu'une des agences de notation ait déclaré que l'échec de la quête d'un accord de réduction des déficits américains n'entraînerait pas automatiquement une dégradation de l'appréciation du pays.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.27% pour grimper à 1.3526.
La monnaie unique a retrouvé des partisans après que le premier ministre grec Evangelos Venizelos ait déclaré que les représentants de la zone euro prendraient une décision concernant l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides financières dès le 29 novembre.
La livre sterling a toutefois cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD commettant un faux pas de 0.09% pour glisser à 1.5627.
Des informations officielles avaient auparavant monré que les eprunts du secteur public britannique avaient davantage diminué en octobre que prévu, passant ainsi de 10.2 à 3.4 milliards de GBP en l'espace d'un mois.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.12% pour se retrouver à 76.97 et l'USD/CHF glissant de 0.4% pour tomber à 0.9135.
Il avait bondi sur la devise du Japon en début de matinée après que Jun Azumi, le ministre des finances du pays, ait tenu des propos analysés par certains acteurs des marchés comme les signes d'une intervention prochaine.
Une étude gouvernementale avait d'autre part signalé que l'excédent du sommerce extérieur suisse avait davantage augmenté le mois dernier que prévu, et ce bien que le renforcement de la monnaie helvétique freine la croissance des exportations.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.07% pour aller vers 1.0391, l'AUD/USD raflant 0.19% pour monter à 0.9861 et le NZD/USD engrangeant 0.24% pour culminer à 0.7484.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, trébuchant de 0.09% pour se situer à 78.39.
L'agence de notation Fitch a quand à elle fait savoir que l'impasse des négociations visant à reboucher quelque peu le gouffre budgétaire américain aurait des chances d'entraîner un simple placement de la notation monétaire du pays sous une perspective négative de sa part, et non une dégradation.
Les Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de leur produit intérieur brut, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de novembre.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.27% pour grimper à 1.3526.
La monnaie unique a retrouvé des partisans après que le premier ministre grec Evangelos Venizelos ait déclaré que les représentants de la zone euro prendraient une décision concernant l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides financières dès le 29 novembre.
La livre sterling a toutefois cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD commettant un faux pas de 0.09% pour glisser à 1.5627.
Des informations officielles avaient auparavant monré que les eprunts du secteur public britannique avaient davantage diminué en octobre que prévu, passant ainsi de 10.2 à 3.4 milliards de GBP en l'espace d'un mois.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.12% pour se retrouver à 76.97 et l'USD/CHF glissant de 0.4% pour tomber à 0.9135.
Il avait bondi sur la devise du Japon en début de matinée après que Jun Azumi, le ministre des finances du pays, ait tenu des propos analysés par certains acteurs des marchés comme les signes d'une intervention prochaine.
Une étude gouvernementale avait d'autre part signalé que l'excédent du sommerce extérieur suisse avait davantage augmenté le mois dernier que prévu, et ce bien que le renforcement de la monnaie helvétique freine la croissance des exportations.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.07% pour aller vers 1.0391, l'AUD/USD raflant 0.19% pour monter à 0.9861 et le NZD/USD engrangeant 0.24% pour culminer à 0.7484.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, trébuchant de 0.09% pour se situer à 78.39.
L'agence de notation Fitch a quand à elle fait savoir que l'impasse des négociations visant à reboucher quelque peu le gouffre budgétaire américain aurait des chances d'entraîner un simple placement de la notation monétaire du pays sous une perspective négative de sa part, et non une dégradation.
Les Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de leur produit intérieur brut, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de novembre.