Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse pour la seconde journée consécutive ce mercredi, s'élevant vers un pic des deux dernières séances de cotation, se trouvant soutenues par la pression exercée sur le dollar U.S. et les violences ayant éclaté au Nigeria, premier producteur africain.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 109.42 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1.17%.
Ils avaient auparavant culminé à 109.49 USD, leur cours le plus élevé depuis le 18 avril.
Le billet vert s'est en effet retrouvé sous pression après que l'agence Standard & Poor's ait prévenu qu'elle avait abaissé lundi ses prévisions concernant la notation monétaire AAA des Etats-Unis de "stables" à "négatives".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.49% pour se situer à 74.92.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les investisseurs se sont également inquiétés des informations selon lesquelles le nord du Nigeria, majoritairement musulman, se serait rebellé face à la victoire électorale apparente du président sortant Goodluck Jonathan, un chrétien du sud.
Shehu Sani, directeur du mouvement pour les droits civiques du pays, a déclaré que des heurts entre chrétiens et musulmans avaient eu lieu pour la seconde journée consécutive dans la ville septentrionale de Kaduna, faisant au moins six morts.
Le Nigeria est le premier producteur de pétrole d'afrique, avec environ 2.2 millions de barils quotidiens enregistrés en février d'après l'agence américaine d'information sur l'énergie.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait par ailleurs dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines pour la semaine achevée le 15 avril. Celui-ci devrait probablement montrer une augmentation de 0.7 millions de barils, contre pas moins de 1.6 millions engrangés la semaine précédente.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés hier avaient quand à eux évalué la progression des réserves à 0.65 millions de barils pour la semaine passée.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juiin ont gagné 1.1% pour grimper à 122.47 USD du baril dans le même temps, soit 13.05 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 109.42 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1.17%.
Ils avaient auparavant culminé à 109.49 USD, leur cours le plus élevé depuis le 18 avril.
Le billet vert s'est en effet retrouvé sous pression après que l'agence Standard & Poor's ait prévenu qu'elle avait abaissé lundi ses prévisions concernant la notation monétaire AAA des Etats-Unis de "stables" à "négatives".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.49% pour se situer à 74.92.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les investisseurs se sont également inquiétés des informations selon lesquelles le nord du Nigeria, majoritairement musulman, se serait rebellé face à la victoire électorale apparente du président sortant Goodluck Jonathan, un chrétien du sud.
Shehu Sani, directeur du mouvement pour les droits civiques du pays, a déclaré que des heurts entre chrétiens et musulmans avaient eu lieu pour la seconde journée consécutive dans la ville septentrionale de Kaduna, faisant au moins six morts.
Le Nigeria est le premier producteur de pétrole d'afrique, avec environ 2.2 millions de barils quotidiens enregistrés en février d'après l'agence américaine d'information sur l'énergie.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait par ailleurs dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines pour la semaine achevée le 15 avril. Celui-ci devrait probablement montrer une augmentation de 0.7 millions de barils, contre pas moins de 1.6 millions engrangés la semaine précédente.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés hier avaient quand à eux évalué la progression des réserves à 0.65 millions de barils pour la semaine passée.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juiin ont gagné 1.1% pour grimper à 122.47 USD du baril dans le même temps, soit 13.05 USD de mieux que leurs homologues américaines.