Investing.com - Les options sur le pétrole brut ont progressé pour le sixième jour de cotation consécutif ce lundi, s'élevant vers un sommet des 26 derniers mois alors que l'arrivée du blizzard sur le nord-est des Etats-Unis dopait les cours et la demande en carburant domestique, les volumes des transactions restant limités à l'approche de la fin de l'année.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.23 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.19%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.86 USD, leur cours le plus élevé depuis le 7 octobre 2008.
Leur creux journalier à 90.78 USD avait toutefois été atteint suite à l'annonce faite samedi par la Chine de la remontée de ses taux pour les dépôts et les prêts de 25 points de base pour la seconde fois depuis la mi-octobre.
Cette décision, qui était plutôt attendue pour la semaine précédente, est destinée à lutter contre l'inflation, cette dernière ayant bondi en novembre vers 5.1%, son plus haut niveau des 28 derniers mois.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2010-2011.
Les cours ont ensuite rebondi après qu'une puissante tempête de neige ait touché le nord-est américain dimanche et menacé de se poursuivre aujourd'hui.
D'aprèsle service météorologique AccuWeather, New York a reçu hier pas moins de 51 centimètres de neige, et subi de températures atteignant les -6°C.
La côte est américaine représente le plus gros marché national pour le carburant domestique, dont environ 160 litres ou 42 gallons sont produits à partir d'un baril de brut.
L'agence U.S. d'information sur l'énergie a par ailleurs laissé entendre dans son rapport publié mercredi que la consommation nationale de pétrole brut était en augmentation, et que le réserves d'or noir américaines avaient laissé échapper 19 millions de barils sur les 3 semaines passées, leur plus forte chute sur une telle période depuis 1998.
Les Etats-Unis restent les premiers demandeurs de pétrole du monde.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier ont quand à elles trébuché de 0.04% pour s'échanger à 4.023 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour le même mois ont dérapé de 0.16% pour s'établir à 2.531 USD du gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.23 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.19%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.86 USD, leur cours le plus élevé depuis le 7 octobre 2008.
Leur creux journalier à 90.78 USD avait toutefois été atteint suite à l'annonce faite samedi par la Chine de la remontée de ses taux pour les dépôts et les prêts de 25 points de base pour la seconde fois depuis la mi-octobre.
Cette décision, qui était plutôt attendue pour la semaine précédente, est destinée à lutter contre l'inflation, cette dernière ayant bondi en novembre vers 5.1%, son plus haut niveau des 28 derniers mois.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2010-2011.
Les cours ont ensuite rebondi après qu'une puissante tempête de neige ait touché le nord-est américain dimanche et menacé de se poursuivre aujourd'hui.
D'aprèsle service météorologique AccuWeather, New York a reçu hier pas moins de 51 centimètres de neige, et subi de températures atteignant les -6°C.
La côte est américaine représente le plus gros marché national pour le carburant domestique, dont environ 160 litres ou 42 gallons sont produits à partir d'un baril de brut.
L'agence U.S. d'information sur l'énergie a par ailleurs laissé entendre dans son rapport publié mercredi que la consommation nationale de pétrole brut était en augmentation, et que le réserves d'or noir américaines avaient laissé échapper 19 millions de barils sur les 3 semaines passées, leur plus forte chute sur une telle période depuis 1998.
Les Etats-Unis restent les premiers demandeurs de pétrole du monde.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier ont quand à elles trébuché de 0.04% pour s'échanger à 4.023 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour le même mois ont dérapé de 0.16% pour s'établir à 2.531 USD du gallon dans le même temps.