Investing.com - Les options sur l'or se sont extirpées de leur creux le plus profond des sept dernières semaines ce jeudi matin, après que la Réserve Fédérale ait confirmé sa position précédente concernant l'économie américaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 717.15 USD de l'once en première partie de séance européenne, bondissant de 0.95%.
Ils avaient précédement culminé à 1 717.95 USD, leur meilleur cours du jour, avec près de 1% d'augmentation, après avoir plongé hier jusqu'à 1 699.65 USD, leur plus faible valeur depuis le 7 septembre.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 688.85 USD, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 731.25 USD, leur plafond du 22 octobre.
La Fed n'a en effet annoné aucune nouvelle mesure à l'issue hier soir de ses deux jours de conseil.
Elle a ainsi précisé dans son communiqué sur les taux que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle a ajouté estimer maintenir son taux directeur à court terme aux alentours de zéro jusqu'à la mi-2015.
Elle avait fait savoir à la mi-septembre qu'elle comptait acquérir 40 milliards d'USD mensuels de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché du travail des Etats-Unis recouvre la santé, pour sa troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par celle-ci pour remplumer le système financier national.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, puis la semaine demain avec leur produit intérieur brut du troisième trimestre.
Les opérateurs guettaient aussi des signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Une telle décision permettrait du coup à cette dernière de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, mais elle impliquerait aussi de soumettre son budget à l'approbation des bailleurs de fonds, ce qui ne l'a pas incitée à aller dans cette direction.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 1.9% pour grimper à 32.22 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont avancé de 0.35% pour se retrouver à 3.58 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 717.15 USD de l'once en première partie de séance européenne, bondissant de 0.95%.
Ils avaient précédement culminé à 1 717.95 USD, leur meilleur cours du jour, avec près de 1% d'augmentation, après avoir plongé hier jusqu'à 1 699.65 USD, leur plus faible valeur depuis le 7 septembre.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 688.85 USD, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 731.25 USD, leur plafond du 22 octobre.
La Fed n'a en effet annoné aucune nouvelle mesure à l'issue hier soir de ses deux jours de conseil.
Elle a ainsi précisé dans son communiqué sur les taux que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle a ajouté estimer maintenir son taux directeur à court terme aux alentours de zéro jusqu'à la mi-2015.
Elle avait fait savoir à la mi-septembre qu'elle comptait acquérir 40 milliards d'USD mensuels de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché du travail des Etats-Unis recouvre la santé, pour sa troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par celle-ci pour remplumer le système financier national.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, puis la semaine demain avec leur produit intérieur brut du troisième trimestre.
Les opérateurs guettaient aussi des signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Une telle décision permettrait du coup à cette dernière de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, mais elle impliquerait aussi de soumettre son budget à l'approbation des bailleurs de fonds, ce qui ne l'a pas incitée à aller dans cette direction.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 1.9% pour grimper à 32.22 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont avancé de 0.35% pour se retrouver à 3.58 USD la livre dans le même temps.