Investing.com - Les options sur le brut ont conclu avec une avancée modérée, après avoir subi de fortes pertes en début de semaine, les opérateurs reprenant du service afin de profiter d'occasions d'achats à bas prix après avoir plongé jeudi au plus bas niveaux depuis décembre.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 87,95 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 0,2%.
Ils auront ainsi laissé échapper 3,15% pour leur troisième déconvenue hebdomadaire consécutive, et devraient expirer à la fin des transactions de ce lundi, le 22 avril.
Leurs homologues pour juin ont été davantage sur le devant de la scène, terminant à 88,23 USD, grignotant 0,25%, après avoir touché jeudi le fond à 85,92 USD, leur plus bas niveau en quatre mois.
Ces derniers temps ont été éprouvants pour eux, subissant une désaffection en raison des craintes concernant l'état de l'économie planétaire, et de ses conséquences sur les besoins pétroliers.
Ils se sont effondrés de près de 7%, soit 6,50 USD du baril, depuis le 11 avril.
Les angoisses se sont intensifiées après que le Fonds Monétaire International avait en effet revu en début de semaine ses projections de croissance planétaire à la baisse, depuis les 3,5% espérés pour 2013 en janvier vers 3,3%.
Celles pour la Chine se trouvaient érodées de 8,2 vers 8%, et celles pour les Etats-Unis de 2 vers 1.9%.
Les deux plus grosses économies mondiales sont également les premières consommatrices d'or noir.
Le produit intérieur brut des Etats-Unis au premier trimestre devant être révélé vendredi sera au centre des attentions au long de la semaine prochaine, en raison du spectre d'un essoufflement de leur économie.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont pour leur part empoché 0,4% vendredi pour grimper à 99,50 USD du baril, sur fond re dumeurs selon lesquelles l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole pourrait réduire ses quotas de production en réponse à la récente baisse des cours.
ils avaient touché jeudi le fond à 96,76 USD, leur creux le plus profond depuis le 2 juillet.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un passage à vide de 3,1%, pour s'établir à 11,éè USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ils ont récemment été boudés en raison des inconnues au sujet de l'économie européenne.
Celle-ci est en effet considérée par le FMI comme le maîllon le plus faible de l'économie mondiale, ses 17 membres représentant environ 12% des besoins mondiaux de l'année dernière.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 87,95 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 0,2%.
Ils auront ainsi laissé échapper 3,15% pour leur troisième déconvenue hebdomadaire consécutive, et devraient expirer à la fin des transactions de ce lundi, le 22 avril.
Leurs homologues pour juin ont été davantage sur le devant de la scène, terminant à 88,23 USD, grignotant 0,25%, après avoir touché jeudi le fond à 85,92 USD, leur plus bas niveau en quatre mois.
Ces derniers temps ont été éprouvants pour eux, subissant une désaffection en raison des craintes concernant l'état de l'économie planétaire, et de ses conséquences sur les besoins pétroliers.
Ils se sont effondrés de près de 7%, soit 6,50 USD du baril, depuis le 11 avril.
Les angoisses se sont intensifiées après que le Fonds Monétaire International avait en effet revu en début de semaine ses projections de croissance planétaire à la baisse, depuis les 3,5% espérés pour 2013 en janvier vers 3,3%.
Celles pour la Chine se trouvaient érodées de 8,2 vers 8%, et celles pour les Etats-Unis de 2 vers 1.9%.
Les deux plus grosses économies mondiales sont également les premières consommatrices d'or noir.
Le produit intérieur brut des Etats-Unis au premier trimestre devant être révélé vendredi sera au centre des attentions au long de la semaine prochaine, en raison du spectre d'un essoufflement de leur économie.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont pour leur part empoché 0,4% vendredi pour grimper à 99,50 USD du baril, sur fond re dumeurs selon lesquelles l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole pourrait réduire ses quotas de production en réponse à la récente baisse des cours.
ils avaient touché jeudi le fond à 96,76 USD, leur creux le plus profond depuis le 2 juillet.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un passage à vide de 3,1%, pour s'établir à 11,éè USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ils ont récemment été boudés en raison des inconnues au sujet de l'économie européenne.
Celle-ci est en effet considérée par le FMI comme le maîllon le plus faible de l'économie mondiale, ses 17 membres représentant environ 12% des besoins mondiaux de l'année dernière.