Investing.com - Les options sur le brut se sont tirées ce mardi matin de leur faux pas de la veille, les yeux braqués sur l'état des réserves des Etats-Unis afin d'évaluer l'importance du premier appétit de la planète.
Leurs homologues londoniennes étaient par contre en retrait, les opérateurs évaluant encore les conséquences des récentes avancées diplomatiques avec l'Iran, qui pourrait du coup revenir en force sur le marché.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 94,52 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,45%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 94,14 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94,61 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus touché le fond à 93,08 USD, avant de conclure à 94,09 USD, avec un recul de 0,79%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,08 USD, leur plancher d'hier, et rencontrer de la résistance à 95,57 USD, leur plafond du 22 novembre.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire sur l'état des stocks du pays dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une augmentation de 900.000 barils d'or noir pour la semaine passée.
Les cours ont récemment subi une tendance baissière, en raison d'inventaires et de production en nette hausse.
Le premier représntait ainsi la semaine dernière un volume total de 388,5 millions de barils, le plus élevé depuis juin, tandis que la seconde demeurait stable à 7,98 millions de barils par jour, auxalenntours de son plus haut niveau en 24 ans.
Le nombre des permis de construire et des lancements de chantiers des Etats-Unis apportera cet après-midi davantage de précisions sur la conjoncture, et donc le besoin de soutiens.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont fléchi de 0,3% pour glisser à 110,68 USD du baril dans le même temps, soit 16,16 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles avaient atteint hier un creux à 108,05 USD, avant de limiter la casse à 0,05% en concluant à 111,00 USD.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont ainsi pu conclure avec un "premier accord" visant à limiter ses ambitions en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir iraniennes en réactions aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
Certains demeurent cependant sceptiques sur les possibilités d'expansion rapide de la capacité nationale.
Les restrictions commerciales prises suite aux accusations selon lesquelles il chercherait à développer la bombe atomique ont retiré plus d'un million de barils quotidiens du marché mondial au cours des deux années écoulées.
Leurs homologues londoniennes étaient par contre en retrait, les opérateurs évaluant encore les conséquences des récentes avancées diplomatiques avec l'Iran, qui pourrait du coup revenir en force sur le marché.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 94,52 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,45%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 94,14 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94,61 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus touché le fond à 93,08 USD, avant de conclure à 94,09 USD, avec un recul de 0,79%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,08 USD, leur plancher d'hier, et rencontrer de la résistance à 95,57 USD, leur plafond du 22 novembre.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire sur l'état des stocks du pays dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une augmentation de 900.000 barils d'or noir pour la semaine passée.
Les cours ont récemment subi une tendance baissière, en raison d'inventaires et de production en nette hausse.
Le premier représntait ainsi la semaine dernière un volume total de 388,5 millions de barils, le plus élevé depuis juin, tandis que la seconde demeurait stable à 7,98 millions de barils par jour, auxalenntours de son plus haut niveau en 24 ans.
Le nombre des permis de construire et des lancements de chantiers des Etats-Unis apportera cet après-midi davantage de précisions sur la conjoncture, et donc le besoin de soutiens.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont fléchi de 0,3% pour glisser à 110,68 USD du baril dans le même temps, soit 16,16 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles avaient atteint hier un creux à 108,05 USD, avant de limiter la casse à 0,05% en concluant à 111,00 USD.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont ainsi pu conclure avec un "premier accord" visant à limiter ses ambitions en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir iraniennes en réactions aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
Certains demeurent cependant sceptiques sur les possibilités d'expansion rapide de la capacité nationale.
Les restrictions commerciales prises suite aux accusations selon lesquelles il chercherait à développer la bombe atomique ont retiré plus d'un million de barils quotidiens du marché mondial au cours des deux années écoulées.