Investing.com - Les options sur le brut étaient à la peine ce vendredi, les opérateurs assurant leurs plus-values découlant de leur récent rebond, les yeux tournés pour cet après-midi vers l'étude préliminaire sur le produit intérieur brut américain.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 93,03 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,67%.
L'attention se concentrait en effet sur l'état de la croissance des Etats-Unis en fin de journée, après quu'une récente série de résultats décevants ait suscité des interrogations sur la solidité de la relance du pays.
Le département d'état au travail américain a toutefois dénombré hier 14.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 20 avril, pour un total hebdomadaire de 339.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de seulement 4.000 pour les amener à 351.000 était espérée.
Le total de la semaine précédente s'était pour sa part situé à 355.000, après révision vers le haut des 352.000 préalablement avancés.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
La nervosité était palpable sur fond de rumeurs de baisse des taux de la Banque Centrale Européenne, après que Goldman Sachs ait estimé hier qu'ils seraient probablement rabotés de 0,25 points de pourcentage.
Elle a aussi révisé à la baisse ses estimations de l'évolution annuelle du produit intérieur brut régional de -0,5 vers -0,7%.
Les cours avaient bondi de plus de 2% mercredi, après que l'inventaire officiel ait montré que les réserves pétrolières américaines avaient moins augmenté la semaine dernière qu'anticipé.
Elles n'ont ainsi accumulé que 900.000 barils supplémentaires au lieu des 1,5 millions envisagés.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont chuté de 0,58% pour glisser à 102,81 USD du baril dans le même temps, soit 9,78 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 93,03 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,67%.
L'attention se concentrait en effet sur l'état de la croissance des Etats-Unis en fin de journée, après quu'une récente série de résultats décevants ait suscité des interrogations sur la solidité de la relance du pays.
Le département d'état au travail américain a toutefois dénombré hier 14.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 20 avril, pour un total hebdomadaire de 339.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de seulement 4.000 pour les amener à 351.000 était espérée.
Le total de la semaine précédente s'était pour sa part situé à 355.000, après révision vers le haut des 352.000 préalablement avancés.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
La nervosité était palpable sur fond de rumeurs de baisse des taux de la Banque Centrale Européenne, après que Goldman Sachs ait estimé hier qu'ils seraient probablement rabotés de 0,25 points de pourcentage.
Elle a aussi révisé à la baisse ses estimations de l'évolution annuelle du produit intérieur brut régional de -0,5 vers -0,7%.
Les cours avaient bondi de plus de 2% mercredi, après que l'inventaire officiel ait montré que les réserves pétrolières américaines avaient moins augmenté la semaine dernière qu'anticipé.
Elles n'ont ainsi accumulé que 900.000 barils supplémentaires au lieu des 1,5 millions envisagés.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont chuté de 0,58% pour glisser à 102,81 USD du baril dans le même temps, soit 9,78 USD de mieux que leurs homologues américaines.