Investing.com - L'euro a reculé face au dollar U.S. lors des échanges frileux de ce mardi matin, les observateurs se tournant à présent vers le sommet du G20, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à apporter de la compétitivité.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3378 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3385, glissant de 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3352, son plancher de deux semaines établi vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3478, son plafond du 25 janvier.
La monnaie unique avait pourtant repris des couleurs après que Jens Weidmann, à la tête de la Bundesbank allemande, ait déclaré hier que celle-ci n'était pas surévaluée, et qu'un mouvement dans une direction inverse ne ferait qu'entraîner une augmentation de l'inflation.
Elle s'était déjà retrouvée sur la sellette après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi dernier que cette dernière surveillerait l'impact économique de son renforcement, alimentant les rumeurs d'une nouvelle baisse des taux d'intérêt.
La devise de l'Europe a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP reculant de 0.12% pour reprendre pied à 0.8549, et l'EUR/JPY perdant 0.26% pour chuter à 126.1.
Il était prévu que le chef de l'autorité monétaire régionale s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec le solde du budget fédéral.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3378 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3385, glissant de 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3352, son plancher de deux semaines établi vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3478, son plafond du 25 janvier.
La monnaie unique avait pourtant repris des couleurs après que Jens Weidmann, à la tête de la Bundesbank allemande, ait déclaré hier que celle-ci n'était pas surévaluée, et qu'un mouvement dans une direction inverse ne ferait qu'entraîner une augmentation de l'inflation.
Elle s'était déjà retrouvée sur la sellette après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi dernier que cette dernière surveillerait l'impact économique de son renforcement, alimentant les rumeurs d'une nouvelle baisse des taux d'intérêt.
La devise de l'Europe a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP reculant de 0.12% pour reprendre pied à 0.8549, et l'EUR/JPY perdant 0.26% pour chuter à 126.1.
Il était prévu que le chef de l'autorité monétaire régionale s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec le solde du budget fédéral.