Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme lors des échanges feutrés de ce vendredi, mais leur avancée demeurait limitée par les craintes au sujet de la croissance économique mondiale, qui cotinuaient à peser sur l'ambiance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 88,59 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,71%.
La prudence restait de mise après que le Fonds Monétaire International ait affirmé mardi que les mesures stimulatrices prises par la Réserve Fédérale et la Banque du Japon encourageraient encore les économies dont elles ont la charge, mais que le bloc ayant adopté la monnaie unique demeurait le maîllon le plus faible de la relance.
Au Etats-Unis, l'indice manufacturier établi par la Réserve Fédérale de Philadelphie est descendu depuis 2,0 vers 1,3 pour avril, alors qu'une montée à 3,0 était espérée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part dénombré 4.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 13 avril, pour un total hebdomadaire de 352.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 2.000 pour les amener à 350.000 était déjà redoutée.
Le total de la semaine précédente s'était pour sa part situé à 348.000, après révision vers le haut des 346.000 préalablement avancés.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont gagné 0,57% pour grimper à 99,70 USD du baril dans le même temps, soit 11,11 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 88,59 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,71%.
La prudence restait de mise après que le Fonds Monétaire International ait affirmé mardi que les mesures stimulatrices prises par la Réserve Fédérale et la Banque du Japon encourageraient encore les économies dont elles ont la charge, mais que le bloc ayant adopté la monnaie unique demeurait le maîllon le plus faible de la relance.
Au Etats-Unis, l'indice manufacturier établi par la Réserve Fédérale de Philadelphie est descendu depuis 2,0 vers 1,3 pour avril, alors qu'une montée à 3,0 était espérée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part dénombré 4.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 13 avril, pour un total hebdomadaire de 352.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 2.000 pour les amener à 350.000 était déjà redoutée.
Le total de la semaine précédente s'était pour sa part situé à 348.000, après révision vers le haut des 346.000 préalablement avancés.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont gagné 0,57% pour grimper à 99,70 USD du baril dans le même temps, soit 11,11 USD de mieux que leurs homologues américaines.