Investing.com - Les options sur le brut se sont extirpées ce lundi de leur ornière des 10 dernières semaines, les achats au plus bas ayant été massifs après la plongée de 2.5% enregistrée à la suite de la démission du président égyptien Hosni Moubarak.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 85.7 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.41%.
Ils avaient auparavant culminé à 85.82 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Ils s'étaient effondrés jusqu'à 85.09 USD en fin de semaine, leur pire niveau depuis le premier décembre, après que M. Moubarak ait laissé sa place et confié le pouvoir à l'armée, soulageant les observateurs craignant une poursuite de l'escalade menant à une fermeture du canal de Suez.
Environ 2 millions de barils par jour y circulent, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis, et l'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie pour 2011 dévoilé ce mois-ci.
Mohamed al-Hamli, ministre du pétrole des Emirats Arabes Unis, a par ailleurs assuré en début de journée que "le marché du pétrole est bien approvisionné" et que les cours n'ont réagi qu'aux troubles politiques de l'Egypte et non à des problèmes fondamentaux.
M. al-Hamli a par ailleurs annoncé lors d'un forum sur le pétrole tenu à Abu Dhabi que les ministres du pétrole des membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole devraient discuter de l'approvisionnement mondial lors d'un congrès de spécialistes à Riyad prévu pour la semaine prochaine, mais qu'aucune augmentation de la production n'était au programme avant la prochaine réunion de l'OPEP devant se dérouler en juin.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mars ont perdu 0.17% pour descendre à 101.53 USD du baril, soit 15.83 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Celles sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs dérapé de 0.74% pour s'échanger à 3.867 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont par contre pris 0.33% pour s'établir à 2.718 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 85.7 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.41%.
Ils avaient auparavant culminé à 85.82 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Ils s'étaient effondrés jusqu'à 85.09 USD en fin de semaine, leur pire niveau depuis le premier décembre, après que M. Moubarak ait laissé sa place et confié le pouvoir à l'armée, soulageant les observateurs craignant une poursuite de l'escalade menant à une fermeture du canal de Suez.
Environ 2 millions de barils par jour y circulent, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis, et l'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie pour 2011 dévoilé ce mois-ci.
Mohamed al-Hamli, ministre du pétrole des Emirats Arabes Unis, a par ailleurs assuré en début de journée que "le marché du pétrole est bien approvisionné" et que les cours n'ont réagi qu'aux troubles politiques de l'Egypte et non à des problèmes fondamentaux.
M. al-Hamli a par ailleurs annoncé lors d'un forum sur le pétrole tenu à Abu Dhabi que les ministres du pétrole des membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole devraient discuter de l'approvisionnement mondial lors d'un congrès de spécialistes à Riyad prévu pour la semaine prochaine, mais qu'aucune augmentation de la production n'était au programme avant la prochaine réunion de l'OPEP devant se dérouler en juin.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mars ont perdu 0.17% pour descendre à 101.53 USD du baril, soit 15.83 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Celles sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs dérapé de 0.74% pour s'échanger à 3.867 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont par contre pris 0.33% pour s'établir à 2.718 USD par gallon dans le même temps.