Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce mercredi, retombant de leur pic des sux dernières semaines après que des prises de gains modérés aient eu lieu suite à la flambée d'hier, tout en restant trées vers le bas par les craintes entourant la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 89.22 USD le baril en premère partie de séance européenne, reculant de 1.1%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88.53 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1.4% de fléchissement.
La journée de mardi les avait vus bondir de près de 2.3% pour culminer à 90.5 USD du baril, leur meilleur niveau depuis le 4 août, en raison de l'attente d'une forte chute des réserves des Etats-Unis, tandis que le fléchissement du dollar U.S. encourageait également l'ascension des cours.
Ce rebond a toutefois poussé certains investisseurs à liquider leurs positions et encaisser leurs plus-values avant la divulgation dans la journée du rapport hebdomadaire du département d'état à l'énergie américain sur les réserves de brut et d'essence.
Celui-ci pourrait montrer une diminution de 3 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine dernière, tandis que ceux d'essence devraient en perdre 500 000.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain, dévoilés hier avaient quand à eux évalué la régression des stocks à 5.05 millions de barils pour la semaine achevée le 9 septembre.
Les stocks d'essence auraient quand à eux bondi de 2.76 millions de barils pour en totaliser 212.7 millions, nuançant quelque peu le tableau des besoins du pays.
L'angoisse causée par le surendettement européen s'est aggravée après que l'agence Moody's Investor Services ait rabaissé sa notation de deux des plus grosses banques françaises, invoquant leur surexposition aux dettes grecques.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a gagné 0.24% de son côté pour se situer à 77.78.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont laissé échapper 0.23% pour tomber à 109.23 USD du baril dans le même temps, soit 20.01 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La Deutsche Bank a fait remarquer dans un article paru mardi soir que les cours Brent avait des chances de subir une pression baissière à court terme, en raison des incertitudes économiques mondiales et des perspectives de reprise des exportations libyennes.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 89.22 USD le baril en premère partie de séance européenne, reculant de 1.1%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88.53 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1.4% de fléchissement.
La journée de mardi les avait vus bondir de près de 2.3% pour culminer à 90.5 USD du baril, leur meilleur niveau depuis le 4 août, en raison de l'attente d'une forte chute des réserves des Etats-Unis, tandis que le fléchissement du dollar U.S. encourageait également l'ascension des cours.
Ce rebond a toutefois poussé certains investisseurs à liquider leurs positions et encaisser leurs plus-values avant la divulgation dans la journée du rapport hebdomadaire du département d'état à l'énergie américain sur les réserves de brut et d'essence.
Celui-ci pourrait montrer une diminution de 3 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine dernière, tandis que ceux d'essence devraient en perdre 500 000.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain, dévoilés hier avaient quand à eux évalué la régression des stocks à 5.05 millions de barils pour la semaine achevée le 9 septembre.
Les stocks d'essence auraient quand à eux bondi de 2.76 millions de barils pour en totaliser 212.7 millions, nuançant quelque peu le tableau des besoins du pays.
L'angoisse causée par le surendettement européen s'est aggravée après que l'agence Moody's Investor Services ait rabaissé sa notation de deux des plus grosses banques françaises, invoquant leur surexposition aux dettes grecques.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a gagné 0.24% de son côté pour se situer à 77.78.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont laissé échapper 0.23% pour tomber à 109.23 USD du baril dans le même temps, soit 20.01 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La Deutsche Bank a fait remarquer dans un article paru mardi soir que les cours Brent avait des chances de subir une pression baissière à court terme, en raison des incertitudes économiques mondiales et des perspectives de reprise des exportations libyennes.