Investing.com - Les options sur le brut étaient en repli ce mercredi matin, l'attention se concentrant sur la publication imminente de l'étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis au sujet de l'état des réserves pétrolières nationales.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 88,67 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88,58 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un fléchissement de 0,5%, ayant plongé hier jusqu'à 86,41 USD, leur pire valeur depuis le 17 décembre.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait mettre en évidence une augmentation de 1,3 millions de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir écoulé 800.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une soustraction de 6,6 millions de barils pour la période considérée inattendue au vu des 1,35 millions pressentis, ainsi que l'ajout de 250.000 barils aux secondes.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Ces derniers temps ont été éprouvants, en raison des craintes concernant l'état de l'économie planétaire, et de ses conséquences sur les besoins pétroliers.
Le Fonds Monétaire International avait ainsi revu hier ses projections de croissance planétaire à la baisse, depuis les 3,5% espérés pour 2013 en janvier vers 3,3%, et de 4,1 à 4,0% pour 2014.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont stagné à 99,93 USD du baril dans le même temps, soit 11,26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, avaient sombré hier dans une ornière de neuf mois à 98,02 USD, sur fond de perspectives économiques angoissantes pour le bloc euro.
Celui-ci est en effet considéré par le FMI comme le maîllon le plus faible, ses 17 membres représentant environ 12% des besoins mondiaux de l'année dernière.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 88,67 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88,58 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un fléchissement de 0,5%, ayant plongé hier jusqu'à 86,41 USD, leur pire valeur depuis le 17 décembre.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait mettre en évidence une augmentation de 1,3 millions de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir écoulé 800.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une soustraction de 6,6 millions de barils pour la période considérée inattendue au vu des 1,35 millions pressentis, ainsi que l'ajout de 250.000 barils aux secondes.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Ces derniers temps ont été éprouvants, en raison des craintes concernant l'état de l'économie planétaire, et de ses conséquences sur les besoins pétroliers.
Le Fonds Monétaire International avait ainsi revu hier ses projections de croissance planétaire à la baisse, depuis les 3,5% espérés pour 2013 en janvier vers 3,3%, et de 4,1 à 4,0% pour 2014.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont stagné à 99,93 USD du baril dans le même temps, soit 11,26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, avaient sombré hier dans une ornière de neuf mois à 98,02 USD, sur fond de perspectives économiques angoissantes pour le bloc euro.
Celui-ci est en effet considéré par le FMI comme le maîllon le plus faible, ses 17 membres représentant environ 12% des besoins mondiaux de l'année dernière.