Investing.com - Les options sur le brut étaient à la peine ce mardi matin, l'ambiance étant toujours assombrie par les inquiétudes au sujet de l'économie mondiale, alors qu'une série de résultats américains était attendue pour l'après-midi.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 88,25 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0,87%.
La prudence restait en effet de mise après qu'il ait été révélé hier que l'économie de la Chine n'avait gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8,0% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi été inférieure aux attentes, alors que les ventes au détail dépassaient par contre légèrement les projections.
Ces informations ont contribué à raviver l'angoisse d'un essoufflement de l'économie de la planète, après qu'il ait déjà été montré vendredi que les ventes auprès des particuliers américains avaient été érodées de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois.
Il avait d'autre part été souligné hier que l'indice manufacturier de la région de New York avait rétrogradé de 9,2 vers 3,1 pour avril, au lieu des 7,0 déjà redoutés.
Nicolas Maduro a quand à lui été élu président du Venezuela, le troisième producteur des membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
L'Agence Internationale de l'Energie avait estimé dans son rapport du 13 mars qu'un tel évènement pourrait entraîner "une nouvelle dégradation de la compagnie d'extraction d'état et des perspectives de production nationales".
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont dérapé de 0,92% pour chuter à 99,71 USD du baril dans le même temps, soit 11,46 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 88,25 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0,87%.
La prudence restait en effet de mise après qu'il ait été révélé hier que l'économie de la Chine n'avait gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8,0% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi été inférieure aux attentes, alors que les ventes au détail dépassaient par contre légèrement les projections.
Ces informations ont contribué à raviver l'angoisse d'un essoufflement de l'économie de la planète, après qu'il ait déjà été montré vendredi que les ventes auprès des particuliers américains avaient été érodées de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois.
Il avait d'autre part été souligné hier que l'indice manufacturier de la région de New York avait rétrogradé de 9,2 vers 3,1 pour avril, au lieu des 7,0 déjà redoutés.
Nicolas Maduro a quand à lui été élu président du Venezuela, le troisième producteur des membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
L'Agence Internationale de l'Energie avait estimé dans son rapport du 13 mars qu'un tel évènement pourrait entraîner "une nouvelle dégradation de la compagnie d'extraction d'état et des perspectives de production nationales".
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont dérapé de 0,92% pour chuter à 99,71 USD du baril dans le même temps, soit 11,46 USD de mieux que leurs homologues américaines.