Investing.com - Les options sur le brut étaient en légère baisse ce mercredi, la persistance des craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro et les prévisions de consommation peu encourageantes émanant de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole les tirant vers le bas.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 85.61 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.23%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 84.56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.7% de fléchissement.
Le parlement slovaque a en effet rejeté hier le plan d'augmentation des capacités du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, entraînant du même coup la chute du gouvernement du pays et ravivant les angoisses dûes au problème du surendettement régional.
La Slovaquie reste en effet le dernier des 17 états membres de la zone euro à donner son avis sur le renforcement du fonds de secours européen, celui-ci requérant leur approbation unanime pour être mis en place.
L'OPEP a pour sa part revu à la baisse ses prédictions pour les besoins mondiaux en pétrole pour 2011 et 2012 pour le quatrième mois d'affilée, avertisant que la tendance pourrait se poursuivre en raison des inquiétudes grandissantes concernant l'économie mondiale.
L'organisation a estimé dans son rapport mensuel dévoilé hier que la demande mondiale pour le reste de cette année devrait se situer à 87.8 millions de barils quotidiens, au lieu des 87.99 millions précédemment espérés.
Elle a annoncé que celle-ci devrait se trouver à 88.56 millions par jour en 2012, contre 89.26 millions évalués en septembre.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer jeudi une augmentation de 0.8 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient augmenter de 100 000 barils.
Ces informations seront dévoilées un jour plus tard qu'habituellement en raison du jour férié célèbrant Christophe Colomb au début de la semaine.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont reculé de 0.08% pour descendre à 108.14 USD du baril dans le même temps, soit 22.53 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur plus gros écart depuis le 15 septembre.
Leurs cours ont été soutenus par l'annonce du géant Royal Dutch Shell d'une suspension des fournitures de brut enn provenance du Nigeria, en raison d'un sabotage d'oléoduc.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 85.61 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.23%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 84.56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.7% de fléchissement.
Le parlement slovaque a en effet rejeté hier le plan d'augmentation des capacités du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, entraînant du même coup la chute du gouvernement du pays et ravivant les angoisses dûes au problème du surendettement régional.
La Slovaquie reste en effet le dernier des 17 états membres de la zone euro à donner son avis sur le renforcement du fonds de secours européen, celui-ci requérant leur approbation unanime pour être mis en place.
L'OPEP a pour sa part revu à la baisse ses prédictions pour les besoins mondiaux en pétrole pour 2011 et 2012 pour le quatrième mois d'affilée, avertisant que la tendance pourrait se poursuivre en raison des inquiétudes grandissantes concernant l'économie mondiale.
L'organisation a estimé dans son rapport mensuel dévoilé hier que la demande mondiale pour le reste de cette année devrait se situer à 87.8 millions de barils quotidiens, au lieu des 87.99 millions précédemment espérés.
Elle a annoncé que celle-ci devrait se trouver à 88.56 millions par jour en 2012, contre 89.26 millions évalués en septembre.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer jeudi une augmentation de 0.8 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient augmenter de 100 000 barils.
Ces informations seront dévoilées un jour plus tard qu'habituellement en raison du jour férié célèbrant Christophe Colomb au début de la semaine.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont reculé de 0.08% pour descendre à 108.14 USD du baril dans le même temps, soit 22.53 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur plus gros écart depuis le 15 septembre.
Leurs cours ont été soutenus par l'annonce du géant Royal Dutch Shell d'une suspension des fournitures de brut enn provenance du Nigeria, en raison d'un sabotage d'oléoduc.