Investing.com - Les options sur l'or étaient dans une forme sans excès ce mercredi matin, les opérateurs guettant les conclusions de la réunion d'orientation de la Réserve Fédérale de cet après-midi.
Les négociations entre élus américains destinées à éviter la catastrophe budgétaire menaçant les Etats-Unis étaient aussi à l'ordre du jour.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 716.05 USD de l'once en début de séance européenne, encaissant 0.4%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette de 5 USD située entre 1 710.15 USD, leur pire cours journalier, et 1 716.75 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.75 USD, leur plancher du 7 décembre, et rencontrer de la résistance à 1 724.45 USD, leur plafond du 3.
La prise de cap de la banque centrale américaine de la fin de journée reste en effet au centre des débats, sur fond de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Beaucoup s'attendent à ce qu'elle décide de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations à hauteur de 45 milliards d'USD, qui s'ajouteraient à chaque fois aux 40 milliards en titres sécurisés adossés à des hypothèques annoncés en septembre, constituant la troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de son utilisation éventuelle de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
L'étalon américain se trouvait du coup sur la défensive, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, se situant à 80.22.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
L'attention restait aussi concentrée sur le spectre du mur fiscal pesant sur le pays, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
Le président américain Barack Obama a récemment rappelé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés, ce que le camp républicain se refuse à envisager, soutenant plutôt une diminution des niches et autres abattements fiscaux.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.55% pour grimper à 33.2 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.5% pour se retrouver à 3.705 USD la livre dans le même temps.
Les négociations entre élus américains destinées à éviter la catastrophe budgétaire menaçant les Etats-Unis étaient aussi à l'ordre du jour.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 716.05 USD de l'once en début de séance européenne, encaissant 0.4%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette de 5 USD située entre 1 710.15 USD, leur pire cours journalier, et 1 716.75 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.75 USD, leur plancher du 7 décembre, et rencontrer de la résistance à 1 724.45 USD, leur plafond du 3.
La prise de cap de la banque centrale américaine de la fin de journée reste en effet au centre des débats, sur fond de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Beaucoup s'attendent à ce qu'elle décide de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations à hauteur de 45 milliards d'USD, qui s'ajouteraient à chaque fois aux 40 milliards en titres sécurisés adossés à des hypothèques annoncés en septembre, constituant la troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de son utilisation éventuelle de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
L'étalon américain se trouvait du coup sur la défensive, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, se situant à 80.22.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
L'attention restait aussi concentrée sur le spectre du mur fiscal pesant sur le pays, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
Le président américain Barack Obama a récemment rappelé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés, ce que le camp républicain se refuse à envisager, soutenant plutôt une diminution des niches et autres abattements fiscaux.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.55% pour grimper à 33.2 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.5% pour se retrouver à 3.705 USD la livre dans le même temps.