Investing.com - La semaine passée aura vu les options sur l'or enregistrer leur septième semaine de progression hebdomadaire consécutive, leur plus longue série depuis avril 2007, l'aggravation des craintes concernant les perspectives économiques mondiales et l'angoisse persistante dûe à la crise de la dette souveraine de la zone euro augmentant leur attrait.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 852.55 USD de l'once à la clôture des marchés de vendredi, effectuant un bond hebdomadaire de 5.85%, le plus remarquable depuis février 2009.
Ils avaient précédement culminé à 1 878.35 USD vendredi, leur meilleur cours de tous les temps, dépassant avec 3% d'augmentation le record de la veille, les acteurs cherchant à se protéger des fortes baisses des actions sur fond de peur d'un ralentissement mondial.
Ils sont toutefois redescendus de leur nuage après que les bourses européennes soient ressorties de l'ornière et que certains investisseurs aient décidé d'encaisser leurs plus-values.
Le Crédit Suisse, pourvoyeur international de services financiers, a prévenu dans un article divulgué vendredi que les cours étaient susceptibles de subir une correction baissière à court terme, "avant de se stabiliser et de reprendre leur ascension".
Ils avaient déjà engrangé 2% le jour précédent après qu'une série de résultats américains décevants aient renforcé l'hypothèse d'une perte de vitesse de l'économie du pays.
Les ventes de logements d'occasion et les inscriptions au chômage n'ont en effet pas été conformes aux espérances des observateurs, tandis que l'indice de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie plongeait pour août à sa pire valeur depuis mars 2009.
Le Wall Street Journal avait pour sa part rapporté mercredi que la Réserve Fédérale de New York s'inquiétait que les problèmes de surendettement européens ne puissent "mettre à mal la capacité des banques européennes à financer leurs prêts et à tenir leurs engagements aux Etats-Unis".
Les principaux prêteurs d'Europe ont connu de fortes pertes dans le sillage de la nouvelle, et fait planer la rumeur d'une mauvaise santé du secteur bancaire.
Les prix de l'or ont encore bénéficié d'un coup de pouce après que le World Gold Council ait déclaré dans la soirée de jeudi que la demande indienne pour les investissements dans le métal jaune avaient bondi de 78% pour atteindre 108.5 tonnes au second trimestre, tandis que celle destinée à la joaillerie gonflait de 17% vers 139.8 tonnes.
Il a également précisé qu'en Chine, la première s'était élevée de 44% pour se situer à 53 tonnes dans le même temps, et la seconde de 16% pour atteindre 102.9 tonnes.
Les deux pays en restent respectivement les deux premiers consommateurs mondiaux.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs raflé 8.9% pour grimper à 42.93 USD de l'once dans le même temps, leur meilleur niveau depuis le 3 mai, les investisseurs recherchant une alternative moins onéreuse à l'or.
Les cours de l'or devraient rester élevés au cours de la semaine à venir, alors que courent les rueurs selon lesquelles Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, pourrait profiter du symposium de Jackson Hole pour annoncer des mesures destinées à soutenir l'économie américaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 852.55 USD de l'once à la clôture des marchés de vendredi, effectuant un bond hebdomadaire de 5.85%, le plus remarquable depuis février 2009.
Ils avaient précédement culminé à 1 878.35 USD vendredi, leur meilleur cours de tous les temps, dépassant avec 3% d'augmentation le record de la veille, les acteurs cherchant à se protéger des fortes baisses des actions sur fond de peur d'un ralentissement mondial.
Ils sont toutefois redescendus de leur nuage après que les bourses européennes soient ressorties de l'ornière et que certains investisseurs aient décidé d'encaisser leurs plus-values.
Le Crédit Suisse, pourvoyeur international de services financiers, a prévenu dans un article divulgué vendredi que les cours étaient susceptibles de subir une correction baissière à court terme, "avant de se stabiliser et de reprendre leur ascension".
Ils avaient déjà engrangé 2% le jour précédent après qu'une série de résultats américains décevants aient renforcé l'hypothèse d'une perte de vitesse de l'économie du pays.
Les ventes de logements d'occasion et les inscriptions au chômage n'ont en effet pas été conformes aux espérances des observateurs, tandis que l'indice de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie plongeait pour août à sa pire valeur depuis mars 2009.
Le Wall Street Journal avait pour sa part rapporté mercredi que la Réserve Fédérale de New York s'inquiétait que les problèmes de surendettement européens ne puissent "mettre à mal la capacité des banques européennes à financer leurs prêts et à tenir leurs engagements aux Etats-Unis".
Les principaux prêteurs d'Europe ont connu de fortes pertes dans le sillage de la nouvelle, et fait planer la rumeur d'une mauvaise santé du secteur bancaire.
Les prix de l'or ont encore bénéficié d'un coup de pouce après que le World Gold Council ait déclaré dans la soirée de jeudi que la demande indienne pour les investissements dans le métal jaune avaient bondi de 78% pour atteindre 108.5 tonnes au second trimestre, tandis que celle destinée à la joaillerie gonflait de 17% vers 139.8 tonnes.
Il a également précisé qu'en Chine, la première s'était élevée de 44% pour se situer à 53 tonnes dans le même temps, et la seconde de 16% pour atteindre 102.9 tonnes.
Les deux pays en restent respectivement les deux premiers consommateurs mondiaux.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs raflé 8.9% pour grimper à 42.93 USD de l'once dans le même temps, leur meilleur niveau depuis le 3 mai, les investisseurs recherchant une alternative moins onéreuse à l'or.
Les cours de l'or devraient rester élevés au cours de la semaine à venir, alors que courent les rueurs selon lesquelles Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, pourrait profiter du symposium de Jackson Hole pour annoncer des mesures destinées à soutenir l'économie américaine.