Investing.com - La semaine écoulée aura vu l'or progresser pour la cinquième semaine consécutive, sa plus longue série depuis septembre 2007, le pétrole brut ayant par ailleurs flambé, sur fond de violences en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, augmentant l'attrait du métal précieux en tant qu'investissement alternatif.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 431.35 USD de l'once à la clôture des marchés de vendredi, bondissant de 1.5% sur la semaine.
Ils avaient précédement culminé mercredi à 1 440.10 USD, leur cours le plus élevé de tous les temps, les troubles politiques en ayant redoré l'intérêt en tant que valeur sûre.
Ils s'étaient ensuite effondrés de 1.4% le lendemain après que la Ligue Arabe ait déclaré étudier un plan proposé par le président vénézuélien Hugo Chavez pour mettre fin aux violences en Libye.
Vendredi les a toutefois vu rebondir de 1% après que l'opposition libyenne ait rejeté l'offre de médiation du Venezuela et que le rebelles armés aient continué à se heurter aux forces de l'ordre près de Ras Lanuf, un terminal pétrolier de première importance situé dans l'est du pays.
L'instabilité actuelle a tiré ce jour-là les cours de l'or noir vers un pic des 29 derniers mois, ravivant les craintes d'un impact de l'inflation sur la croissance économique mondiale, propulsant du même coup l'or dans un rôle de garde-fou contre la hausse des coûts énergétiques.
UBS, pourvoyeur international de services financiers, a par ailleurs annoncé la semaine dernière que les achats d'or de la Chine avaient bondi à 200 tonnes sur les 2 premiers mois de l'année 2011, les investisseurs du pays s'en servant comme "protecteur de leur richesse contre l'inflation".
La Chine reste le second demandeur d'or au monde, en ayant importé d'après le Shanghai Gold Exchange environ 209 tonnes au cours des 10 premiers mois de 2010.
Les futures sur l'argent pour mai se sont par ailleurs envolées de 6.3% pour grimper à 35.61 USD de l'once, le plus haut niveau des 31 dernières années dans le même temps.
La Deutsche Bank a affirmé de son côté s'attendre à les voir s'établir à 50 USD en 2012, stimulées par "la demande industrielle en provenance des marchés développés et émergeants, ainsi que de la part des petits investisseurs inquiétés par les perspectives inflationnistes et la valeur future des monnaies, à la recherche d'une alternative moins coûteuse à l'or".
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 431.35 USD de l'once à la clôture des marchés de vendredi, bondissant de 1.5% sur la semaine.
Ils avaient précédement culminé mercredi à 1 440.10 USD, leur cours le plus élevé de tous les temps, les troubles politiques en ayant redoré l'intérêt en tant que valeur sûre.
Ils s'étaient ensuite effondrés de 1.4% le lendemain après que la Ligue Arabe ait déclaré étudier un plan proposé par le président vénézuélien Hugo Chavez pour mettre fin aux violences en Libye.
Vendredi les a toutefois vu rebondir de 1% après que l'opposition libyenne ait rejeté l'offre de médiation du Venezuela et que le rebelles armés aient continué à se heurter aux forces de l'ordre près de Ras Lanuf, un terminal pétrolier de première importance situé dans l'est du pays.
L'instabilité actuelle a tiré ce jour-là les cours de l'or noir vers un pic des 29 derniers mois, ravivant les craintes d'un impact de l'inflation sur la croissance économique mondiale, propulsant du même coup l'or dans un rôle de garde-fou contre la hausse des coûts énergétiques.
UBS, pourvoyeur international de services financiers, a par ailleurs annoncé la semaine dernière que les achats d'or de la Chine avaient bondi à 200 tonnes sur les 2 premiers mois de l'année 2011, les investisseurs du pays s'en servant comme "protecteur de leur richesse contre l'inflation".
La Chine reste le second demandeur d'or au monde, en ayant importé d'après le Shanghai Gold Exchange environ 209 tonnes au cours des 10 premiers mois de 2010.
Les futures sur l'argent pour mai se sont par ailleurs envolées de 6.3% pour grimper à 35.61 USD de l'once, le plus haut niveau des 31 dernières années dans le même temps.
La Deutsche Bank a affirmé de son côté s'attendre à les voir s'établir à 50 USD en 2012, stimulées par "la demande industrielle en provenance des marchés développés et émergeants, ainsi que de la part des petits investisseurs inquiétés par les perspectives inflationnistes et la valeur future des monnaies, à la recherche d'une alternative moins coûteuse à l'or".