Investing.com - La semaine passée aura vu les options sur l'or perdre du terrain vendredi après que les chiffres de l'emploi U.S. aient dépassé les attentes, tandis que la crainte d'une remontée imminente des taux de la Réserve Fédérale pesait elle aussi sur le précieux métal.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 429.85 USD de l'once à la clôture des marchés de vendredi, progressant de 0.15% sur la semaine.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 413.75 USD le même jour, leur pire cours des deux dernières journées de cotation, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé vendredi que la masse salariale avait gagné 216 000 emplois en mars, dépassant largement les 188 000 attendus. Il était également précisé que la taux de chômage était pour sa part retombé sans crier gare à 8.8%, son plus bas niveau en 2 ans, contre 8.9% en février.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a pour sa part fait savoir que les taux d'intérêt pourraient connaître une augmentation allant jusqu'à 0.75 points d'ici la fin de l'année, tandis que Jeffery Lacker, son homologue de Richmond, affirmait que la banque centrale devrait étudier la possibilité d'une réduction de son programme d'achats d'actifs en raison de l'amélioration des résultats économiques.
L'or a ainsi compensé ses pertes ayant suivi la déclaration de William Dudley, leur collègue de New York, assurant ne voir aucune raison d'ajuster la politique permissive de la Fed malgré les bonnes nouvelles du marché de l'emploi.
Barclays a pour sa part déclaré dans un rapport publié vendredi: "Le cycle de resserrement monétaire, déjà entamé dans les économies émergentes, et qui devrait à présent se mettre en place en Occident, n'est pas une bonne nouvelle pour l'or".
Les cours avaient culminé jeudi à 1 440.85 USD, à moins de 0.7% de leur sommet historique, la poursuite des troubles en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, la persistance de la crainte de la dette de la zone euro et l'inquiétude concernant la crise nucléaire japonaise ayant augmenté l'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge.
Le World Gold Council a par ailleurs indiqué mercredi prévoir une hausse de 3% par an des achats d'or de l'Inde pour les 10 prochaines années.
Le premier consommateur d'or au monde devrait en effet d'après le WGC bénéficier d'une forte croissance économique et de revenus plus élevés, portant ses besoins annuels à 1 200 tonnes d'ici l'année 2020-2021.
Les futures sur l'argent pour mai ont quand à elles bondi de 1.3% pour grimper à 37.81 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 1.6% pour se retrouver à 4.259 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 429.85 USD de l'once à la clôture des marchés de vendredi, progressant de 0.15% sur la semaine.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 413.75 USD le même jour, leur pire cours des deux dernières journées de cotation, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé vendredi que la masse salariale avait gagné 216 000 emplois en mars, dépassant largement les 188 000 attendus. Il était également précisé que la taux de chômage était pour sa part retombé sans crier gare à 8.8%, son plus bas niveau en 2 ans, contre 8.9% en février.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a pour sa part fait savoir que les taux d'intérêt pourraient connaître une augmentation allant jusqu'à 0.75 points d'ici la fin de l'année, tandis que Jeffery Lacker, son homologue de Richmond, affirmait que la banque centrale devrait étudier la possibilité d'une réduction de son programme d'achats d'actifs en raison de l'amélioration des résultats économiques.
L'or a ainsi compensé ses pertes ayant suivi la déclaration de William Dudley, leur collègue de New York, assurant ne voir aucune raison d'ajuster la politique permissive de la Fed malgré les bonnes nouvelles du marché de l'emploi.
Barclays a pour sa part déclaré dans un rapport publié vendredi: "Le cycle de resserrement monétaire, déjà entamé dans les économies émergentes, et qui devrait à présent se mettre en place en Occident, n'est pas une bonne nouvelle pour l'or".
Les cours avaient culminé jeudi à 1 440.85 USD, à moins de 0.7% de leur sommet historique, la poursuite des troubles en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, la persistance de la crainte de la dette de la zone euro et l'inquiétude concernant la crise nucléaire japonaise ayant augmenté l'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge.
Le World Gold Council a par ailleurs indiqué mercredi prévoir une hausse de 3% par an des achats d'or de l'Inde pour les 10 prochaines années.
Le premier consommateur d'or au monde devrait en effet d'après le WGC bénéficier d'une forte croissance économique et de revenus plus élevés, portant ses besoins annuels à 1 200 tonnes d'ici l'année 2020-2021.
Les futures sur l'argent pour mai ont quand à elles bondi de 1.3% pour grimper à 37.81 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 1.6% pour se retrouver à 4.259 USD la livre dans le même temps.