Investing.com - Les options sur l'or ont conclu sous la barre cruciale des 1 700 USD, avec peu dévolutions journalières, les négociations entre élus américains destinées à éviter une catastrophe budgétaire restant au centre des préoccupations.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 697.05 USD de l'once à la clôture des échanges, grignotant 0.01%.
Ils avaient touché jeudi le fond à 1 690.85 USD, leur pire cours hebdomadaire, suite à une série de ventes techniques et de débouclages destinés à engranger des plus-values suite aux derniers accommodements de la part de la Réserve Fédérale.
Ils auront ainsi subi avec 0.5% en moins une troisième semaine de recul successive.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.75 USD, leur plancher du 7 décembre, et rencontrer de la résistance à 1 724.75 USD, leur plafond du 12.
L'attention se concentrait de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des deux semaines précédant la date fatidique.
Le président américain Barack Obama avait récemment rappelé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés.
Mais le camp républicain se refuse à envisager un tel plan, soutenant plutôt une lutte hasardeuse contre les niches et autres abattements fiscaux qu'une remontée des taux d'imposition.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, tirant le reste du monde vers le bas.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait quand à lui averti mercredi que cette dernière n'avait pas les moyens "d'amortir tous les effets d'un tel scénario".
La banque centrale américaine avait auparavant décidé de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
Elle a aussi précisé que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Des chiffres officiels avaient montré vendredi que les prix au détail des Etats-Unis avaient diminué de 0.3% en novembre, constituant leur premier recul en six mois, en raison notamment de coûts de l'essence en déclin, ramenant le taux d'augmentation annuel à 1.8%.
L'indice des directeurs des achats manufacturiers chinois établi par HSBC est quand à lui passé de 50.5 à 50.9 pour ce mois-ci, constituant ainsi la meilleure performance du secteur en 14 mois.
Les négociations à Washington destinées à éviter une débâcle budgétaire américaine seront au centre des débats de la semaine, de même que les résultats des élections japonaises et les conclusions de la prise de cap de l'autorité monétaire nippone.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs trébuché de 0.1% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 32.33 USD de l'once, leur valeur la plus basse depuis le 16 novembre.
Elles ont du coup connu un troisème recul hebdomadaire consécutif avec 2.4%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont par contre engrangé 0.5% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3.679 USD la livre dans le même temps, après avoir culminé mercredi à 3.72 USD, leur niveau le plus élevé en six semaines.
Elles se sont renforcés de 0.35% au cours de leur série de cinq semaine positives.
Cette poussée est le résultat de l'espoir que la Chine en consomme davantage bientôt, gardant sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 697.05 USD de l'once à la clôture des échanges, grignotant 0.01%.
Ils avaient touché jeudi le fond à 1 690.85 USD, leur pire cours hebdomadaire, suite à une série de ventes techniques et de débouclages destinés à engranger des plus-values suite aux derniers accommodements de la part de la Réserve Fédérale.
Ils auront ainsi subi avec 0.5% en moins une troisième semaine de recul successive.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.75 USD, leur plancher du 7 décembre, et rencontrer de la résistance à 1 724.75 USD, leur plafond du 12.
L'attention se concentrait de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des deux semaines précédant la date fatidique.
Le président américain Barack Obama avait récemment rappelé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés.
Mais le camp républicain se refuse à envisager un tel plan, soutenant plutôt une lutte hasardeuse contre les niches et autres abattements fiscaux qu'une remontée des taux d'imposition.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, tirant le reste du monde vers le bas.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait quand à lui averti mercredi que cette dernière n'avait pas les moyens "d'amortir tous les effets d'un tel scénario".
La banque centrale américaine avait auparavant décidé de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
Elle a aussi précisé que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Des chiffres officiels avaient montré vendredi que les prix au détail des Etats-Unis avaient diminué de 0.3% en novembre, constituant leur premier recul en six mois, en raison notamment de coûts de l'essence en déclin, ramenant le taux d'augmentation annuel à 1.8%.
L'indice des directeurs des achats manufacturiers chinois établi par HSBC est quand à lui passé de 50.5 à 50.9 pour ce mois-ci, constituant ainsi la meilleure performance du secteur en 14 mois.
Les négociations à Washington destinées à éviter une débâcle budgétaire américaine seront au centre des débats de la semaine, de même que les résultats des élections japonaises et les conclusions de la prise de cap de l'autorité monétaire nippone.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs trébuché de 0.1% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 32.33 USD de l'once, leur valeur la plus basse depuis le 16 novembre.
Elles ont du coup connu un troisème recul hebdomadaire consécutif avec 2.4%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont par contre engrangé 0.5% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3.679 USD la livre dans le même temps, après avoir culminé mercredi à 3.72 USD, leur niveau le plus élevé en six semaines.
Elles se sont renforcés de 0.35% au cours de leur série de cinq semaine positives.
Cette poussée est le résultat de l'espoir que la Chine en consomme davantage bientôt, gardant sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.