Futures Pros - La semaine passée aura vu les contrats sur l'or retomber vendredi de leur sommet historique après que le dollar U.S. ait rattrapé une partie de ses récentes pertes, mettant un frein à la demande d'or comme investissement refuge.
Dans la division Comex du marché aux matières premières de New York, les options sur l'or à livrer en décembre se sont échangées contre 1 368.05 USD l'once à la clôture ce vendredi, bondissant tout de même de 1.49% sur la semaine, s'étant trouvées en hausse depuis le 14 septembre, soit pour un record de 17 séances d'affilée.
Elles avaient en effet atteint jeudi 1 387.07 USD l'once, leur plafond historique, après que la banque centrale de Singapour ait décidé de durcir sa politique monétaire sans crier gare, ajoutant encore à la pression baissière subie par la monnaie américaine.
Elles ont donc cependant régressé vendredi, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, étant resté prudent par rapport à la possibilité de nouveaux assouplissement monétaires, affirmant que toute action serait "dépendante des informations concernant les perspectives économiques et les conditions financières".
Le récent rebond de l'or a incité les extracteur à intensifier leur production afin de profiter des prix plus élevés.
D'après le secrétariat d'état aux matières premières chinois, branche du ministère de l'industrie et des technologies informatiques, la production d'or nationale devrait augmenter de 8% en 2010. Elle est actuellement le seconde plus importante au monde.
Un autre rapport, issu de de chambre des mines du Zimbabwe, a indiqué que la sienne devrait progresser de 78% pour l'année, passant de 4.9 à 8.8 tonnes entre 2009 et 2010.
Elle s'est énormément developpée dans ce pays africain depuis février 2009, suite à la décision prise par le ministre des finances d'autoriser les producteurs à vendre leur or sur les marchés internationaux, alors qu'ils devaient précédemment écouler leur producteion auprès de la banque centrale locale.
L'argent à échéance en décembre a également chuté de son piédestal des 30 années passées pour se retrouver à 24.3 USD l'once en fin de séance de vendredi, engrangeant tout de même 3.82% au cours de la semaine.
Dans la division Comex du marché aux matières premières de New York, les options sur l'or à livrer en décembre se sont échangées contre 1 368.05 USD l'once à la clôture ce vendredi, bondissant tout de même de 1.49% sur la semaine, s'étant trouvées en hausse depuis le 14 septembre, soit pour un record de 17 séances d'affilée.
Elles avaient en effet atteint jeudi 1 387.07 USD l'once, leur plafond historique, après que la banque centrale de Singapour ait décidé de durcir sa politique monétaire sans crier gare, ajoutant encore à la pression baissière subie par la monnaie américaine.
Elles ont donc cependant régressé vendredi, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, étant resté prudent par rapport à la possibilité de nouveaux assouplissement monétaires, affirmant que toute action serait "dépendante des informations concernant les perspectives économiques et les conditions financières".
Le récent rebond de l'or a incité les extracteur à intensifier leur production afin de profiter des prix plus élevés.
D'après le secrétariat d'état aux matières premières chinois, branche du ministère de l'industrie et des technologies informatiques, la production d'or nationale devrait augmenter de 8% en 2010. Elle est actuellement le seconde plus importante au monde.
Un autre rapport, issu de de chambre des mines du Zimbabwe, a indiqué que la sienne devrait progresser de 78% pour l'année, passant de 4.9 à 8.8 tonnes entre 2009 et 2010.
Elle s'est énormément developpée dans ce pays africain depuis février 2009, suite à la décision prise par le ministre des finances d'autoriser les producteurs à vendre leur or sur les marchés internationaux, alors qu'ils devaient précédemment écouler leur producteion auprès de la banque centrale locale.
L'argent à échéance en décembre a également chuté de son piédestal des 30 années passées pour se retrouver à 24.3 USD l'once en fin de séance de vendredi, engrangeant tout de même 3.82% au cours de la semaine.