La dynamique reste haussière sur les marchés actions européens à l'approche de la fin de la réunion du comité de politique monétaire.
Ce dernier devrait acter la fin du quantitative easing troisième du nom, un programme lancé en septembre 2012 par Ben Bernanke, prédécesseur de Janet Yellen à la tête de la Fed, pour faire baisser les taux d'intérêt à long terme, favoriser le secteur immobilier et stimuler la consommation - et qui a largement soutenu les places occidentales.
Alors que la première économie mondiale semble se redresser des points de vue de l'immobilier et de l'emploi, les investisseurs attendent des précisions de la susnommée Janet Yellen concernant une remontée des taux de la Réserve fédérale américaine.
'Le rendez-vous le plus important de la semaine aura lieu ce soir avec la décision de la politique monétaire de la Réserve fédérale. La prudence devrait donc être de rigueur, avant la fin programmée du quantitative easing américain', corrobore-t-on chez Barclays Bourse.
En attendant, le CAC 40 engrange 0,3% peu après 11h00. Dans le même temps, le Footsie 100 et le Dax s'adjugent respectivement 0,7 et 0,9%. L'AEX (Amsterdam) et le SMI (Zürich) progressent pour leur part de 0,4 et 0,5%, tandis que le Footsie MIB (Milan) est stable. Seule exception : à Madrid, l'Ibex 35 se replie d'environ 0,1% alors que les ventes au détail espagnoles ont reculé de 1,8% le mois dernier.
L'actualité reste dense sur le front des valeurs. Facebook a fait état hier soir d'un bénéfice net en hausse de 90% au troisième trimestre, mais ses prévisions pour le quatrième trimestre déçoivent les analystes.
De l'autre côté de l'Atlantique, Deutsche Bank (-0,6% à 25,1 euros) est l'une des rares valeurs du Dax à évoluer en territoire négatif après la publication de ses résultats du troisième trimestre, marqués par une perte nette de 92 millions d'euros en raison de déboires judiciaires.
A Paris, Total grimpe de son côté de 1,4% à 46,1 euros après la présentation de résultats en retrait limité pour le troisième trimestre grâce à une solide performance en raffinage-chimie et l'annonce du versement d'un dividende de 0,61 euro sur la période, soit une hausse de 3,4% sur un an.
Sanofi (-4,1% à 71,5 euros) poursuit en revanche sa descente aux enfers dans le sillage de l'éviction de son directeur général Christopher Viehbacher, au lendemain de résultats trimestriels du groupe de santé lourdement sanctionnés en Bourse.
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Ce dernier devrait acter la fin du quantitative easing troisième du nom, un programme lancé en septembre 2012 par Ben Bernanke, prédécesseur de Janet Yellen à la tête de la Fed, pour faire baisser les taux d'intérêt à long terme, favoriser le secteur immobilier et stimuler la consommation - et qui a largement soutenu les places occidentales.
Alors que la première économie mondiale semble se redresser des points de vue de l'immobilier et de l'emploi, les investisseurs attendent des précisions de la susnommée Janet Yellen concernant une remontée des taux de la Réserve fédérale américaine.
'Le rendez-vous le plus important de la semaine aura lieu ce soir avec la décision de la politique monétaire de la Réserve fédérale. La prudence devrait donc être de rigueur, avant la fin programmée du quantitative easing américain', corrobore-t-on chez Barclays Bourse.
En attendant, le CAC 40 engrange 0,3% peu après 11h00. Dans le même temps, le Footsie 100 et le Dax s'adjugent respectivement 0,7 et 0,9%. L'AEX (Amsterdam) et le SMI (Zürich) progressent pour leur part de 0,4 et 0,5%, tandis que le Footsie MIB (Milan) est stable. Seule exception : à Madrid, l'Ibex 35 se replie d'environ 0,1% alors que les ventes au détail espagnoles ont reculé de 1,8% le mois dernier.
L'actualité reste dense sur le front des valeurs. Facebook a fait état hier soir d'un bénéfice net en hausse de 90% au troisième trimestre, mais ses prévisions pour le quatrième trimestre déçoivent les analystes.
De l'autre côté de l'Atlantique, Deutsche Bank (-0,6% à 25,1 euros) est l'une des rares valeurs du Dax à évoluer en territoire négatif après la publication de ses résultats du troisième trimestre, marqués par une perte nette de 92 millions d'euros en raison de déboires judiciaires.
A Paris, Total grimpe de son côté de 1,4% à 46,1 euros après la présentation de résultats en retrait limité pour le troisième trimestre grâce à une solide performance en raffinage-chimie et l'annonce du versement d'un dividende de 0,61 euro sur la période, soit une hausse de 3,4% sur un an.
Sanofi (-4,1% à 71,5 euros) poursuit en revanche sa descente aux enfers dans le sillage de l'éviction de son directeur général Christopher Viehbacher, au lendemain de résultats trimestriels du groupe de santé lourdement sanctionnés en Bourse.
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