Investing.com - La semaine écoulée aura vu les options sur le brut rebondir vendredi vers un nouveau pic, les résultats économiques dépassant les espérances dévoilés par les Etats-Unis et la Chine ayant fait remonter les perspectives de consommation de la part des deux plus gros demandeurs mondiaux.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 109.66 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, plongeant de tout de même 2.8% sur la semaine.
La Réserve Fédérale a en effet annoncé ce jour-là que la production industrielle des Etats-Unis avait progressé de 0.8% en mars, constituant sa cinquième hausse mensuelle d'affilée. Elle a également précisé que l'indice de l'activité manufacturière de l'état de New York avait pour sa part atteint en avril son plus haut niveau de l'année écoulée, tandis que celui de la confiance des consommateurs dépassait également les valeurs espérées pour avril.
La Chine a aussi annoncé le même jour que son économie avait engrangé 9.7% lors du premier trimestre, surpassant les 0.5% attendus, alors que sa production industrielle s'envolait de 14.8% au lieu des 14.1% prévus.
La Deutsche Bank avait aussi déclaré: "L'économie de la Chine continentale reste forte malgré plusieurs mesures de durcissement monétaires prises au cours de l'année, ce qui laisse espérer une hausse des prix du brut dans le futur."
Les Etats-Unis et la Chine restent d'après le département d'état à l'énergie américain les deux plus gros consommateurs d'or noir du monde, responsables de 32% de la demande mondiale en 2010.
Les cours ont également bénéficié de la poursuite des violences en Libye, et de l'aggravation des émeutes en Syrie et au Yémen.
L'Agence Internationale de l'Energie et le Fonds Monétaire International avaient prévenu en début de semaine que la hausse des prix avait des chances d'entraîner une baisse de la demande mondiale de pétrole, tandis que Goldman Sachs conseillait aux investisseurs "d'assurer leurs profits avant que le marché des matières premières ne change de direction".
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juin ont quand à elles perdu 2.2% pour tomber à 123.65 USD du baril dans le même temps, soit 13.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La Deutsche Bank a également précisé: "Les options Brent devraient se situer entre 120 et 125 USD tant que la situation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ne sera pas éclaircie, et cela pourrait ne pas arriver rapidement."
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 109.66 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, plongeant de tout de même 2.8% sur la semaine.
La Réserve Fédérale a en effet annoncé ce jour-là que la production industrielle des Etats-Unis avait progressé de 0.8% en mars, constituant sa cinquième hausse mensuelle d'affilée. Elle a également précisé que l'indice de l'activité manufacturière de l'état de New York avait pour sa part atteint en avril son plus haut niveau de l'année écoulée, tandis que celui de la confiance des consommateurs dépassait également les valeurs espérées pour avril.
La Chine a aussi annoncé le même jour que son économie avait engrangé 9.7% lors du premier trimestre, surpassant les 0.5% attendus, alors que sa production industrielle s'envolait de 14.8% au lieu des 14.1% prévus.
La Deutsche Bank avait aussi déclaré: "L'économie de la Chine continentale reste forte malgré plusieurs mesures de durcissement monétaires prises au cours de l'année, ce qui laisse espérer une hausse des prix du brut dans le futur."
Les Etats-Unis et la Chine restent d'après le département d'état à l'énergie américain les deux plus gros consommateurs d'or noir du monde, responsables de 32% de la demande mondiale en 2010.
Les cours ont également bénéficié de la poursuite des violences en Libye, et de l'aggravation des émeutes en Syrie et au Yémen.
L'Agence Internationale de l'Energie et le Fonds Monétaire International avaient prévenu en début de semaine que la hausse des prix avait des chances d'entraîner une baisse de la demande mondiale de pétrole, tandis que Goldman Sachs conseillait aux investisseurs "d'assurer leurs profits avant que le marché des matières premières ne change de direction".
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juin ont quand à elles perdu 2.2% pour tomber à 123.65 USD du baril dans le même temps, soit 13.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La Deutsche Bank a également précisé: "Les options Brent devraient se situer entre 120 et 125 USD tant que la situation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ne sera pas éclaircie, et cela pourrait ne pas arriver rapidement."