Investing.com - Les options sur le brut ont sauvé les meubles vendredi, s'extirpant d'une ornière des huit derniers jours avec l'aide d'un dollar U.S. affaibli, mais sont toutefois restés handicapés par les craintes concernant les perspectives économiques mondiales.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 82.75 USD le baril à la clôture des échanges de fin de semaine, plongeant de 3.65% au long de cette dernière, la quatrième de régression d'affilée.
Ils avaient auparavant touché le fond ce jour-là à 79.41 USD, leur cours le plus bas des huit derniers jours de cotation, l'aggravation des inquiétudes à propos de la croissance mondiale future mettant à mal les prévisions de demande, avec 2.5% de fléchissement.
Leurs pertes se sont cependant résorbées, le billet vert se trouvant en mauvaise posture face à l'euro et tombant à son pire niveau de tous les temps contre le yen.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Ils avaient dégringolé jeudi de près de 6% après qu'une série de chiffres américains médiocres aient soutenu l'hypothèse d'une perte de vitesse de l'économie du pays.
Les ventes de logements d'occasion et les inscriptions au chômage n'ont en effet pas été conformes aux espérances des observateurs, tandis que l'indice de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie plongeait pour août à sa pire valeur depuis mars 2009.
Les négociants en produits énergétiques suivent toujours les résultats manufacturiers de près afin de juger comment évolueront les besoins futurs.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait peint dans son rapport hebdomadaire publié hier un tableau de la demande en énergie du premier consommateur du globe plutôt mitigé.
Les réserves nationales de pétrole brut ont en effet engrangé 4.2 millions de barils au cours de la semaine passée, au lieu d'en perdre 500 000 comme prévu, tandis que celles d'esence diminuaient de 3.5 millions de barils, plutôt que des seulement 2 millions envisagés par les experts.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grimpé à 109.17 USD du baril dans le même temps.
Leur progression a représenté 1.25% sur la semaine, les menant à 26.42 USD de mieux que leurs homologues américaines, l'écart le plus important jamais observé, les perturbations touchant les approvisionnements en provenance de Mer du Nord et du Nigeria profitant à leurs cours.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 82.75 USD le baril à la clôture des échanges de fin de semaine, plongeant de 3.65% au long de cette dernière, la quatrième de régression d'affilée.
Ils avaient auparavant touché le fond ce jour-là à 79.41 USD, leur cours le plus bas des huit derniers jours de cotation, l'aggravation des inquiétudes à propos de la croissance mondiale future mettant à mal les prévisions de demande, avec 2.5% de fléchissement.
Leurs pertes se sont cependant résorbées, le billet vert se trouvant en mauvaise posture face à l'euro et tombant à son pire niveau de tous les temps contre le yen.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Ils avaient dégringolé jeudi de près de 6% après qu'une série de chiffres américains médiocres aient soutenu l'hypothèse d'une perte de vitesse de l'économie du pays.
Les ventes de logements d'occasion et les inscriptions au chômage n'ont en effet pas été conformes aux espérances des observateurs, tandis que l'indice de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie plongeait pour août à sa pire valeur depuis mars 2009.
Les négociants en produits énergétiques suivent toujours les résultats manufacturiers de près afin de juger comment évolueront les besoins futurs.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait peint dans son rapport hebdomadaire publié hier un tableau de la demande en énergie du premier consommateur du globe plutôt mitigé.
Les réserves nationales de pétrole brut ont en effet engrangé 4.2 millions de barils au cours de la semaine passée, au lieu d'en perdre 500 000 comme prévu, tandis que celles d'esence diminuaient de 3.5 millions de barils, plutôt que des seulement 2 millions envisagés par les experts.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grimpé à 109.17 USD du baril dans le même temps.
Leur progression a représenté 1.25% sur la semaine, les menant à 26.42 USD de mieux que leurs homologues américaines, l'écart le plus important jamais observé, les perturbations touchant les approvisionnements en provenance de Mer du Nord et du Nigeria profitant à leurs cours.