Investing.com - Les prix du brut ont légèrement progressé vendredi, rebondissant de leur creux des quatre derniers jours après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré que cette dernière était prête à soutenir davantage une économie américaine en difficulté, tandis que les investisseurs guettaient l'évolution de l'ouragan Irene.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 85.47 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, bondissant de 3.75% pour sa première semaine de progression des cinq dernières.
Ils avaient auparavant touché le fond à 82.95 USD ce jour-là, leur cours le plus bas des quatre derniers jours, après qu'une étude émanant des autorités ait montré que l'économie américaine n'avait gagné que 1% au second trimestre, alors que 1.1% étaient espérés, et qu'il avait initialement prévu qu'elle prendrait 1.3%.
Ils ont toutefois rebondi après que le chef de la banque centrale ait affirmé lors de son discours à l'université d'été de la banque centrale à Jackson Hole, au Wyoming que celle-ci restait prête à prendre de nouvelles mesures pour stimuler une économie américaines chancelante, sans toutefois préciser quand elles pourraient être mises en place.
Il a ajouté qu'elle s'attendait à la poursuite d'une "reprise modeste" qui se renforcerait graduellement.
Il a également précisé que la réunion d'orientation de la politique montaire de septembre durerait deux jours au lieu d'un, afin de "permettre une disccussion plus détaillée" sur les perspectives économiques.
Le centre national d'étude des ouragans des Etats-Unis a pour sa part fait savoir que l'ouragan Irene avait touché ce jour-là la côte de la Caroline du Nord, se dirigeant vers la région nord-est du pays, alors que les météorologues estimaient qu'il toucherait la zone du New Jersey et de New York ce dimanche.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique de la région avec attention au cas où elle endommagerait les infrastructures pétrolières du pays, poussant les producteurs à mettre les raffineries au chômage technique.
La Deutsche Bank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a abaissé ses prévisions concernant les cours pour le reste de l'année à 94 USD le baril, contre 100 USD précédemment, invoquant la crainte d'un ralentissement de la croissance économique mondiale.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grimpé à 111.11 USD du baril dans le même temps, les observateurs continuant à évaluer combien de temps la production libyenne mettra à retrouver son niveau d'avant la guerre civile.
Leur progression hebdomadaire aura atteint 2.12%, l'écart avec leurs homologues américains s'élargissant pour atteindre 25.64 USD, se rapprochant de nouveau de leur record historique à 26.42 USD du 19 août.
Paolo Scaroni, directeur éxécutif d'Eni SpA, plus gros des fournisseurs de pétrole opérant en Libye, a déclaré jeudi qu'il faudrait entre six et dix-huit mois à l'entreprise pour relancer ses installations nationales.
Cette remarque est survenue après que la Citibank, un des acteurs les plus influents de Wall Street, ait annoncé mercredi que le pays atteindrait de nouveau sa capacité nominale à 1.6 millions de barils quotidiens d'ici la fin 2012.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 85.47 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, bondissant de 3.75% pour sa première semaine de progression des cinq dernières.
Ils avaient auparavant touché le fond à 82.95 USD ce jour-là, leur cours le plus bas des quatre derniers jours, après qu'une étude émanant des autorités ait montré que l'économie américaine n'avait gagné que 1% au second trimestre, alors que 1.1% étaient espérés, et qu'il avait initialement prévu qu'elle prendrait 1.3%.
Ils ont toutefois rebondi après que le chef de la banque centrale ait affirmé lors de son discours à l'université d'été de la banque centrale à Jackson Hole, au Wyoming que celle-ci restait prête à prendre de nouvelles mesures pour stimuler une économie américaines chancelante, sans toutefois préciser quand elles pourraient être mises en place.
Il a ajouté qu'elle s'attendait à la poursuite d'une "reprise modeste" qui se renforcerait graduellement.
Il a également précisé que la réunion d'orientation de la politique montaire de septembre durerait deux jours au lieu d'un, afin de "permettre une disccussion plus détaillée" sur les perspectives économiques.
Le centre national d'étude des ouragans des Etats-Unis a pour sa part fait savoir que l'ouragan Irene avait touché ce jour-là la côte de la Caroline du Nord, se dirigeant vers la région nord-est du pays, alors que les météorologues estimaient qu'il toucherait la zone du New Jersey et de New York ce dimanche.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique de la région avec attention au cas où elle endommagerait les infrastructures pétrolières du pays, poussant les producteurs à mettre les raffineries au chômage technique.
La Deutsche Bank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a abaissé ses prévisions concernant les cours pour le reste de l'année à 94 USD le baril, contre 100 USD précédemment, invoquant la crainte d'un ralentissement de la croissance économique mondiale.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grimpé à 111.11 USD du baril dans le même temps, les observateurs continuant à évaluer combien de temps la production libyenne mettra à retrouver son niveau d'avant la guerre civile.
Leur progression hebdomadaire aura atteint 2.12%, l'écart avec leurs homologues américains s'élargissant pour atteindre 25.64 USD, se rapprochant de nouveau de leur record historique à 26.42 USD du 19 août.
Paolo Scaroni, directeur éxécutif d'Eni SpA, plus gros des fournisseurs de pétrole opérant en Libye, a déclaré jeudi qu'il faudrait entre six et dix-huit mois à l'entreprise pour relancer ses installations nationales.
Cette remarque est survenue après que la Citibank, un des acteurs les plus influents de Wall Street, ait annoncé mercredi que le pays atteindrait de nouveau sa capacité nominale à 1.6 millions de barils quotidiens d'ici la fin 2012.