Investing.com - Le semaine passée aura vu les options sur le brut culminer vendredi à leur plus haut niveau des 30 derniers mois, soutenu par les bons chiffres de l'emploi U.S. et par la poursuite des hostilités en Libye, aggravant la crainte d'une perturbation prolongée de l'approvisionnement.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 108.42 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, bndissant de 2.8% en cours de semaine.
Ils avaient auparavant culminé le même jour à 108.46 USD, leur cours le plus élevé depuis le 25 septembre 2008, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé vendredi que la masse salariale avait gagné 216 000 emplois en mars, dépassant largement les 188 000 attendus. Il était également précisé que le taux de chômage était pour sa part retombé sans crier gare à 8.8%, son plus bas niveau en 2 ans, contre 8.9% en février.
Ces bons résultats ont renforcé l'idée selon laquelle la reprise économique américaine serait en train de prendre de la vitesse, et augmenté les prévisions de demande d'or noir de la part du premier consommateur mondial.
En Libye, les forces pro-Kadhafi ont fait abandonner aux insurgés leurs positions le long des villes côtières, d'une importance pétrolière stratégique, abandonnant notamment les raffineries portuaires de Ras Lanuf et Brega, dans l'est du pays.
Les investisseurs surveillaient également les manifestations du Yémen, du Bahreïn et de la Syrie comme le lait sur le feu. L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2010.
La Deutsche Bank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a revu à la hausse de 18% ses prévisions pour le prix du pétrole en 2011, leur faisant atteindre 107.75 USD, et de 16% les Brent, grimpant à 117.5 USD.
Dans son rapport publié dans la soirée de jeudi, elle a affirmé que cette remontée était dûe aux "prix du risque géopolitique", alors que diminuait la capacité de production de réserve de l'Arabie Saoudite et que le Moyen-Orient restait agité.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont pour leur part gagné 2.9%% pour grimper à 119.12 USD du baril dans le même temps, soit 10.7 USD de mieux que leurs homologues américaines, et leur cours le plus élevé depuis le 21 août 2008.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 108.42 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, bndissant de 2.8% en cours de semaine.
Ils avaient auparavant culminé le même jour à 108.46 USD, leur cours le plus élevé depuis le 25 septembre 2008, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé vendredi que la masse salariale avait gagné 216 000 emplois en mars, dépassant largement les 188 000 attendus. Il était également précisé que le taux de chômage était pour sa part retombé sans crier gare à 8.8%, son plus bas niveau en 2 ans, contre 8.9% en février.
Ces bons résultats ont renforcé l'idée selon laquelle la reprise économique américaine serait en train de prendre de la vitesse, et augmenté les prévisions de demande d'or noir de la part du premier consommateur mondial.
En Libye, les forces pro-Kadhafi ont fait abandonner aux insurgés leurs positions le long des villes côtières, d'une importance pétrolière stratégique, abandonnant notamment les raffineries portuaires de Ras Lanuf et Brega, dans l'est du pays.
Les investisseurs surveillaient également les manifestations du Yémen, du Bahreïn et de la Syrie comme le lait sur le feu. L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2010.
La Deutsche Bank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a revu à la hausse de 18% ses prévisions pour le prix du pétrole en 2011, leur faisant atteindre 107.75 USD, et de 16% les Brent, grimpant à 117.5 USD.
Dans son rapport publié dans la soirée de jeudi, elle a affirmé que cette remontée était dûe aux "prix du risque géopolitique", alors que diminuait la capacité de production de réserve de l'Arabie Saoudite et que le Moyen-Orient restait agité.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont pour leur part gagné 2.9%% pour grimper à 119.12 USD du baril dans le même temps, soit 10.7 USD de mieux que leurs homologues américaines, et leur cours le plus élevé depuis le 21 août 2008.