Investing.com - Le semaine dernière aura vu les options sur le brut retomber de leur pic des 27 derniers mois suite au large retour du dollar, avant de limiter les dégâts suite aux résultats décevants du marché de l'emploi américain dévoilés vendredi et aux problèmes de logistique rencontrés au niveau de l'approvisionnement national.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 81.42 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, s'écroulant de 3.2% sur la semaine.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet montré dans ses chiffres publiés vendredi une hausse de 103 000 postes du nombre d'employés non agricoles en décembre, soit nettement moins que les 150 000 prévus, le taux de chômage constituant tout de même une bonne surprise en passant de 9.8 à 9.4%.
Suite à la diffusion de la nouvelle, les cours du brut se sont effondrés à leur pire niveau depuis le 10 décembre, reprenant toutefois de la vigueur après qu'il ait été estimé que la situation générale sur le front de l'emploi s'était améliorée.
Canadian Natural Resources, seconde compagnie énergétique du Canada, a également annoncé vendredi avoir dû arrêter son exploitation des sables bitumeux du nord-est de l'Alberta à la suite d'un incendie, perturbant l'approvisionnement américain.
Toute la production du site a dû être stoppée et la compagnie s'est avérée incapable de déclarer quand elle pourrait reprendre. Elle fournit habituellement environ 110 000 barils de brut par jour au centre principal de stockage américain de Cushing, en Oklahoma.
Les cours de l'or noir avaient subi en début de semaine l'optimisme concernant une accélération de la reprise économique américaine, le retour des capitaux sur les marchés et la retombée des cours des matières premières après leurs sommets atteints lors des vacances de fin d'année.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 2.34% de son côté.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié la semaine dernière que les réserves nationales de brut avaient nettement davantage baissé au cours de la semaine achevée le 31 décembre que prévu, perdant 4.2 millions de barils au lieu des 1.4 millions de barils de diminution prédits par les experts.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs perdu 1.55% pour s'échanger à 4.423 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont raflé 2.3% pour s'établir à 2.499 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 81.42 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, s'écroulant de 3.2% sur la semaine.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet montré dans ses chiffres publiés vendredi une hausse de 103 000 postes du nombre d'employés non agricoles en décembre, soit nettement moins que les 150 000 prévus, le taux de chômage constituant tout de même une bonne surprise en passant de 9.8 à 9.4%.
Suite à la diffusion de la nouvelle, les cours du brut se sont effondrés à leur pire niveau depuis le 10 décembre, reprenant toutefois de la vigueur après qu'il ait été estimé que la situation générale sur le front de l'emploi s'était améliorée.
Canadian Natural Resources, seconde compagnie énergétique du Canada, a également annoncé vendredi avoir dû arrêter son exploitation des sables bitumeux du nord-est de l'Alberta à la suite d'un incendie, perturbant l'approvisionnement américain.
Toute la production du site a dû être stoppée et la compagnie s'est avérée incapable de déclarer quand elle pourrait reprendre. Elle fournit habituellement environ 110 000 barils de brut par jour au centre principal de stockage américain de Cushing, en Oklahoma.
Les cours de l'or noir avaient subi en début de semaine l'optimisme concernant une accélération de la reprise économique américaine, le retour des capitaux sur les marchés et la retombée des cours des matières premières après leurs sommets atteints lors des vacances de fin d'année.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 2.34% de son côté.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié la semaine dernière que les réserves nationales de brut avaient nettement davantage baissé au cours de la semaine achevée le 31 décembre que prévu, perdant 4.2 millions de barils au lieu des 1.4 millions de barils de diminution prédits par les experts.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs perdu 1.55% pour s'échanger à 4.423 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont raflé 2.3% pour s'établir à 2.499 USD par gallon dans le même temps.