Investing.com - Le brut est tombé vendredi à son pire niveau en deux jours après que des chiffres mitigés aient montré que l'économie des Etats-Unis avait créé nettement moins d'emplois en janvier que prévu, mais que le taux de chômage national avait toutefois baissé de manière inattendue.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 89.02 USD le baril en à la clôture des marchés de vendredi, dégringolant de 0.9% sur la semaine.
Le département d'état au travail a en effet annoncé la création de 36 000 postes, soit nettement moins que les 150 000 espérés, constituant la performance la plus faible des 4 derniers mois, mais que le pourcentage de la population active privé d'emploi était tombé de 9.4 à 9% de manière inespérée.
L'Agence Internationale de l'Energie avait par ailleurs déclaré le même jour que "le marché du pétrole n'est actuellement confronté à aucune urgence" tout en appelant l'Organisation des Pays Producteurs de Pétrole à "être prête à s'adapter en cas de d'apparition de pénuries".
Les cours avaient auparavant flotté à proximité d'un pic des 28 mois sur fond de crainte que l'escalade de la violence en Egypte ne mène à la fermeture du Canal de Suez.
Environ 2 millions de barils par jour y circulent, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis, et l'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie pour 2011 dévoilé ce mois-ci.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait par ailleurs annoncé que les réserves nationales d'or noir pour la semaine achevée le 28 janvier étaient montées à 2.6 millions de barils, soit légèrement plus que les 2.5 millions prévus.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mars ont se sont effondrées de 0.9% pour reprendre pied à 99.94 USD du baril à la fermeture des échanges, soit 10.92 USD de mieux que son homologue américain.
Elles s'étaient monnayées jeudi à 103.33 le baril, leur prix le plus élevé depuis le 26 septembre 2008, l'escalade des tensions politiques égyptiennes laissant à craindre une extension de la crise aux autres pays producteurs de pétrole du Moyen-Orient.
Les futures sur le gaz naturel pour le mois prochain ont par ailleurs cédé 0.5% pour s'échanger à 4.302 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont glissé de 0.4% pour s'établir à 2.718 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 89.02 USD le baril en à la clôture des marchés de vendredi, dégringolant de 0.9% sur la semaine.
Le département d'état au travail a en effet annoncé la création de 36 000 postes, soit nettement moins que les 150 000 espérés, constituant la performance la plus faible des 4 derniers mois, mais que le pourcentage de la population active privé d'emploi était tombé de 9.4 à 9% de manière inespérée.
L'Agence Internationale de l'Energie avait par ailleurs déclaré le même jour que "le marché du pétrole n'est actuellement confronté à aucune urgence" tout en appelant l'Organisation des Pays Producteurs de Pétrole à "être prête à s'adapter en cas de d'apparition de pénuries".
Les cours avaient auparavant flotté à proximité d'un pic des 28 mois sur fond de crainte que l'escalade de la violence en Egypte ne mène à la fermeture du Canal de Suez.
Environ 2 millions de barils par jour y circulent, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis, et l'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie pour 2011 dévoilé ce mois-ci.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait par ailleurs annoncé que les réserves nationales d'or noir pour la semaine achevée le 28 janvier étaient montées à 2.6 millions de barils, soit légèrement plus que les 2.5 millions prévus.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mars ont se sont effondrées de 0.9% pour reprendre pied à 99.94 USD du baril à la fermeture des échanges, soit 10.92 USD de mieux que son homologue américain.
Elles s'étaient monnayées jeudi à 103.33 le baril, leur prix le plus élevé depuis le 26 septembre 2008, l'escalade des tensions politiques égyptiennes laissant à craindre une extension de la crise aux autres pays producteurs de pétrole du Moyen-Orient.
Les futures sur le gaz naturel pour le mois prochain ont par ailleurs cédé 0.5% pour s'échanger à 4.302 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont glissé de 0.4% pour s'établir à 2.718 USD par gallon dans le même temps.