Investing.com - Les options sur le brut étaient en nette baisse vendredi, rabotant les gains hebdomadaires sur fond de spectre de la crise de la dette souveraine de la zone euro, tandis que le large renforcement du dollar U.S. réduisait l'attrait des matières premières.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 87.07 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant tout de même 0.67% sur la semaine.
Ils avaient auparavant plongé de 2.2% dans la journée, l'angoisse d'un possible manquement grec se précisant après que l'agence de presse Bloomberg ait fait savoir que le ministère des finances allemand étudiait quelles seraient les conséquences au cas où Athènes ne tiendrait pas ses engagements, comprenant notamment l'hypothèse d'un départ du pays surendetté de la zone euro.
La nervosité des investisseurs a encore empiré après que Juergen Stark, membre des conseils exécutif et directeur de la Banque Centrale Européenne, ait annoncé sa démission, alimentant les bruits selon lesquels il aurait été opposé au programme d'achats d'obligations de celle-ci.
La nouvelle a fait s'envoler le billet vert vers un pic des six derniers mois contre la devise européenne, et déclenché de fortes pertes sur les places boursières européennes puis américaines.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 1.77% dans le même temps pour se hisser à 77.72, son plus haut niveau depuis le 23 février.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les prix s'étaient retrouvés sous pression jeudi, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait répété que celle-ci disposait d'une gamme d'outils d'ajustement de la politique monétaire pour stimuler l'économie américaine, sans toutefois apporter davantage de précisions.
Ils avaient également été tirés vers le bas par l'hypothèse selon laquelle les mesures du plan à hauteur de 447 milliards d'USD dévoilé par le président Obama ne seraient pas approuvées par les élus du pays.
Mercredi les avait pourtant vus progresser de 3.9% pour culminer à 90.39 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 4 août, en raison de la peur d'une perturbation de l'approvisionnement du Golfe du Mexique et d'un recul de l'étalon américain.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont dégringolé vers 110.63 USD du baril dans le même temps.
Elles ont perdu 1.68% sur cette période, l'écart avec leurs homologues américaines diminuant jusqu'à 23.56 USD le baril, retombant de leur record à 26.87 datant du 6 septembre.
Une forte pression baissière s'était exeercée sur elles vendredi après que Ali Tarhouni, ministre par intérim du pétrole et des finances de la Libye, ait déclaré que la production reprendrait dans "trois à quatre jours" et que le pays retrouverait ses niveaux de production d'avant la guerre civile en un an.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 87.07 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant tout de même 0.67% sur la semaine.
Ils avaient auparavant plongé de 2.2% dans la journée, l'angoisse d'un possible manquement grec se précisant après que l'agence de presse Bloomberg ait fait savoir que le ministère des finances allemand étudiait quelles seraient les conséquences au cas où Athènes ne tiendrait pas ses engagements, comprenant notamment l'hypothèse d'un départ du pays surendetté de la zone euro.
La nervosité des investisseurs a encore empiré après que Juergen Stark, membre des conseils exécutif et directeur de la Banque Centrale Européenne, ait annoncé sa démission, alimentant les bruits selon lesquels il aurait été opposé au programme d'achats d'obligations de celle-ci.
La nouvelle a fait s'envoler le billet vert vers un pic des six derniers mois contre la devise européenne, et déclenché de fortes pertes sur les places boursières européennes puis américaines.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 1.77% dans le même temps pour se hisser à 77.72, son plus haut niveau depuis le 23 février.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les prix s'étaient retrouvés sous pression jeudi, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait répété que celle-ci disposait d'une gamme d'outils d'ajustement de la politique monétaire pour stimuler l'économie américaine, sans toutefois apporter davantage de précisions.
Ils avaient également été tirés vers le bas par l'hypothèse selon laquelle les mesures du plan à hauteur de 447 milliards d'USD dévoilé par le président Obama ne seraient pas approuvées par les élus du pays.
Mercredi les avait pourtant vus progresser de 3.9% pour culminer à 90.39 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 4 août, en raison de la peur d'une perturbation de l'approvisionnement du Golfe du Mexique et d'un recul de l'étalon américain.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont dégringolé vers 110.63 USD du baril dans le même temps.
Elles ont perdu 1.68% sur cette période, l'écart avec leurs homologues américaines diminuant jusqu'à 23.56 USD le baril, retombant de leur record à 26.87 datant du 6 septembre.
Une forte pression baissière s'était exeercée sur elles vendredi après que Ali Tarhouni, ministre par intérim du pétrole et des finances de la Libye, ait déclaré que la production reprendrait dans "trois à quatre jours" et que le pays retrouverait ses niveaux de production d'avant la guerre civile en un an.