Investing.com - La semaine passée aura vu les options sur le brut décliner pour la première fois en un mois, en clôturant vendredi à son pire niveau en 7 journées de cotation, les craintes concernant des perturbations des livraisons ayant été apaisées alors que le séisme japonais de vendredi dernier l'ait remplacée par celle d'une baisse de la demande.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 100.47 USD le baril à la fermeture des marchés, s'effondrant de 4.3% sur la semaine.
Ils avaient auparavant plongé de près de 2% vendredi après qu'un séisme de 8.9 degrés sur l'échelle de Richter ait frappé la côte nord du Japon, déclenchant un tsunami de près de 10 mètres de haut et forçant plusieurs centrales nucléaires à interrompre leur activité.
JP Morgan a annoncé dans un article paru le même jour que la demande d'or noir du pays du soleil levant pourrait être "temporairement" à la baisse, en fonction de la durée des périodes de chômage technique des usines.
L'archipel reste en effet le troisième consommateur mondial de pétrole après les Etats-Unis et la Chine, nécessitant d'après l'Agence Internationale de l'Energie environ 4.42 millions de barils quotidiens en 2010.
La police saoudienne a par ailleurs dispersé ce jour-là des manifestations s'étant déroulées dans la partie orientale du royaume, la capitale Riyad ayant été épargnée malgré le "jour de rage" proclamé par les groupes d'opposition.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Mohammad Ali Khatibi, ministre du pétrole iranien, avait annoncé jeudi que l'OPEP n'avait pas l'intention de se rencontrer avant sa prochaine réunion prévue pour juin, après que son homologue koweïtien ait déclaré la veille que celle-ci discutait d'une hausse de la production pour la première fois en plus de 2 ans.
Les cours avaient auparavant bondi lundi vers un pic des 30 derniers mois à 106.93 USD le baril, sur fond de peur que les troubles dans le monde arabe ne s'étendent vers les producteurs de pétrole d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont dérapé de 1.2% pour plonger à 113.42 USD du baril, soit 12.95 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 100.47 USD le baril à la fermeture des marchés, s'effondrant de 4.3% sur la semaine.
Ils avaient auparavant plongé de près de 2% vendredi après qu'un séisme de 8.9 degrés sur l'échelle de Richter ait frappé la côte nord du Japon, déclenchant un tsunami de près de 10 mètres de haut et forçant plusieurs centrales nucléaires à interrompre leur activité.
JP Morgan a annoncé dans un article paru le même jour que la demande d'or noir du pays du soleil levant pourrait être "temporairement" à la baisse, en fonction de la durée des périodes de chômage technique des usines.
L'archipel reste en effet le troisième consommateur mondial de pétrole après les Etats-Unis et la Chine, nécessitant d'après l'Agence Internationale de l'Energie environ 4.42 millions de barils quotidiens en 2010.
La police saoudienne a par ailleurs dispersé ce jour-là des manifestations s'étant déroulées dans la partie orientale du royaume, la capitale Riyad ayant été épargnée malgré le "jour de rage" proclamé par les groupes d'opposition.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Mohammad Ali Khatibi, ministre du pétrole iranien, avait annoncé jeudi que l'OPEP n'avait pas l'intention de se rencontrer avant sa prochaine réunion prévue pour juin, après que son homologue koweïtien ait déclaré la veille que celle-ci discutait d'une hausse de la production pour la première fois en plus de 2 ans.
Les cours avaient auparavant bondi lundi vers un pic des 30 derniers mois à 106.93 USD le baril, sur fond de peur que les troubles dans le monde arabe ne s'étendent vers les producteurs de pétrole d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont dérapé de 1.2% pour plonger à 113.42 USD du baril, soit 12.95 USD de mieux que leurs homologues américaines.