Investing.com - La semaine passée aura vu les options sur le brut bondir vendredi vers leur pic de la semaine, les craintes d'une contagion des pays du Moyen-Orient par l'agitation politique égyptienne ayant fait bondir les prix.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 89.44 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 0.3% sur la semaine.
Les cours s'étaient envolés de 4.7% de jour-là, leur plus forte progression sur une séance depuis septembre 2009, les émeutes de plus en plus violentes secouant l'Egypte menaçant de mettre fin aux 30 ans de règne du président Hosni Moubarak, et déclenchant la crainte d'une extension de la crise aux producteurs de pétrole voisins.
Les investisseurs se sont par ailleurs inquiétés d'une fermeture du canal de Suez en raison des troubles, alors qu'environ 2 millions de barils par jour transitent par lui, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis.
L'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie dévoilé ce mois-ci.
Steven Chu, secrétaire d'état à l'énergie des Etats-Unis a quand à lui annoncé vendredi que "toute interruption des livraisons de brut en provenance du Moyen-Orient implique une perturbation partielle de nos approvisionnements".
Les chiffres officiels dévoilés le même jour ont par ailleurs montré une progression de 3.2% de l'économie américaine au quatrième trimestre, fruit de la plus forte hausse de dépenses des consommateurs depuis plus de 4 ans.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Les cours s'étaient écroulés en cours de semaine à 85.21 USD le baril, leur pire niveau depuis le premier décembre, après qu'une rapport émanant des autorités ait mis en évidence l'augmentation nettement supérieure aux attentes des réserves de pétrole américaines lors de la semaine achevée le 21 janvier, gonflant de 4.84 millions de barils et éclipsant les 1.25 millinos attendus.
Les réserves des Etats-Unis sont restées supérieures aux moyennes saisonnières des 5 dernières années, et ce alors que l'hémisphère nord aurait déjà vu passer les moments les plus rigoureux de l'hiver, alimentant les craintes concernant le gonflement des stocks d'or noir.
Les futures sur le gaz naturel pour mars se sont par ailleurs effondrées de 8.8% sur la semaine pour s'échanger à 4.329 USD par million d'unités thermiques britanniques à la clôture des marchés, mais celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont raflé 2.9% pour s'établir à 2.696 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 89.44 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 0.3% sur la semaine.
Les cours s'étaient envolés de 4.7% de jour-là, leur plus forte progression sur une séance depuis septembre 2009, les émeutes de plus en plus violentes secouant l'Egypte menaçant de mettre fin aux 30 ans de règne du président Hosni Moubarak, et déclenchant la crainte d'une extension de la crise aux producteurs de pétrole voisins.
Les investisseurs se sont par ailleurs inquiétés d'une fermeture du canal de Suez en raison des troubles, alors qu'environ 2 millions de barils par jour transitent par lui, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis.
L'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie dévoilé ce mois-ci.
Steven Chu, secrétaire d'état à l'énergie des Etats-Unis a quand à lui annoncé vendredi que "toute interruption des livraisons de brut en provenance du Moyen-Orient implique une perturbation partielle de nos approvisionnements".
Les chiffres officiels dévoilés le même jour ont par ailleurs montré une progression de 3.2% de l'économie américaine au quatrième trimestre, fruit de la plus forte hausse de dépenses des consommateurs depuis plus de 4 ans.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Les cours s'étaient écroulés en cours de semaine à 85.21 USD le baril, leur pire niveau depuis le premier décembre, après qu'une rapport émanant des autorités ait mis en évidence l'augmentation nettement supérieure aux attentes des réserves de pétrole américaines lors de la semaine achevée le 21 janvier, gonflant de 4.84 millions de barils et éclipsant les 1.25 millinos attendus.
Les réserves des Etats-Unis sont restées supérieures aux moyennes saisonnières des 5 dernières années, et ce alors que l'hémisphère nord aurait déjà vu passer les moments les plus rigoureux de l'hiver, alimentant les craintes concernant le gonflement des stocks d'or noir.
Les futures sur le gaz naturel pour mars se sont par ailleurs effondrées de 8.8% sur la semaine pour s'échanger à 4.329 USD par million d'unités thermiques britanniques à la clôture des marchés, mais celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont raflé 2.9% pour s'établir à 2.696 USD par gallon dans le même temps.