Futures Pros - La semaine passée aura vu les options sur le pétrole tomber à leur pire niveau des 5 derniers jours de cotation vendredi, le dollar U.S. ayant rattrapé ses récentes pertes, réduisant l'intérêt des investissement dans les matières premières, les détenteurs des contrats s'achevant en novembre ayant fait en sorte de les écouler avant leur échéance.
Sur le marché des matières premières de New York, les options sur le baril de pétrole brut livré en novembre se sont échangées à 81.35 USD à la clôture de vendredi, dégringolant de 1.89% sur la semmaine.
Les contrats pour novembre expireront en fin de séance ce mardi 20 octobre.
Ils avaient pourtant atteint un pic pour les 5 journées passées jeudi, après que la banque centrale de Singapour ait décidé de durcir sa politique monétaire sans crier gare, ajoutant encore à la pression baissière subie par la monnaie américaine. Le billet vert s'est en effet affaibli ces dernières semaines, dans l'attente d'éventuelles nouvelles mesures d'assouplissement monétaire au pourraient intervenir dès le mois prochain.
Mais ils ont toutefois reflué vendredi après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, soit resté prudent par rapport aux prédictions d'assouplissements à venir, ajoutant que toute action serait "dépendante des informations concernant les perspectives économiques et les conditions financières".
L'administration américaine chargée des informations sur l'énergie a annoncé jeudi dans son rapport hebdomadaire sur les réserves pétrolières nationales que ces dernières avaient diminué de manière inattendue aucours de la semaine achevée le 8 octobre, perdant 400 000 barils, alors que les experts s'étaient attendus à les voir croître de 1.5 millions.
D'après le document, elles totalisaient 360.5 millions de barils sur cette période, restant supérieures à la moyenne saisonnière supérieure.
L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole a également annoncé jeudi qu'elles maintiendrait son quota de production inchangé, précisant qu'elle estimait le marché pétrolier "bien approvisionné" et les prix "d'un niveau satisfaisant".
De leur côté, les contrats pour du gaz naturel à échéance en novembre se sont échangés à 3.526 USD le million d'unités thermiques britanniques à la clôture de la séance de vendredi, ayant essuyé un naufrage de 3.23% encours de semaine.
Sur le marché des matières premières de New York, les options sur le baril de pétrole brut livré en novembre se sont échangées à 81.35 USD à la clôture de vendredi, dégringolant de 1.89% sur la semmaine.
Les contrats pour novembre expireront en fin de séance ce mardi 20 octobre.
Ils avaient pourtant atteint un pic pour les 5 journées passées jeudi, après que la banque centrale de Singapour ait décidé de durcir sa politique monétaire sans crier gare, ajoutant encore à la pression baissière subie par la monnaie américaine. Le billet vert s'est en effet affaibli ces dernières semaines, dans l'attente d'éventuelles nouvelles mesures d'assouplissement monétaire au pourraient intervenir dès le mois prochain.
Mais ils ont toutefois reflué vendredi après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, soit resté prudent par rapport aux prédictions d'assouplissements à venir, ajoutant que toute action serait "dépendante des informations concernant les perspectives économiques et les conditions financières".
L'administration américaine chargée des informations sur l'énergie a annoncé jeudi dans son rapport hebdomadaire sur les réserves pétrolières nationales que ces dernières avaient diminué de manière inattendue aucours de la semaine achevée le 8 octobre, perdant 400 000 barils, alors que les experts s'étaient attendus à les voir croître de 1.5 millions.
D'après le document, elles totalisaient 360.5 millions de barils sur cette période, restant supérieures à la moyenne saisonnière supérieure.
L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole a également annoncé jeudi qu'elles maintiendrait son quota de production inchangé, précisant qu'elle estimait le marché pétrolier "bien approvisionné" et les prix "d'un niveau satisfaisant".
De leur côté, les contrats pour du gaz naturel à échéance en novembre se sont échangés à 3.526 USD le million d'unités thermiques britanniques à la clôture de la séance de vendredi, ayant essuyé un naufrage de 3.23% encours de semaine.