Investing.com - Les options sur le pétrole ont progressé ce mercredi, se maintenant près d'un pic des 29 derniers mois alors que les tensions libyennes alimentaient la crainte d'une interruption des livraisons provenant du pays.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 95.84 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.42%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.25 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Lors d'une déclaration télévisée diffusée mardi, Mouammar Kadhafi, dirigeant de longue date de la Libye, a assuré n'avoir aucune intention de laisser sa place ou de fuir le pays.
Il s'est engagé à combattre la rébellion jusqu'à sa "dernière goutte de sang" et à déployer la police et l'armée pour rétablir l'ordre.
La Libye est la détentrice des plus grands champs d'or noir de l'Afrique, et en extrait presque 1.6 millions de barils par jour.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2009.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le pétrole pour avril ont gagné 0.37% pour grimper à 106.81 USD du baril, soit 10.97 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Goldman Sachs, pourvoyeur international de services financiers, a indiqué dans un rapport publié dans la soirée de mardi que les Brent pourraient se trouver "entre 105 et 110 USD du baril dans les semaines à venir" si les troubles devaient se poursuivre et s'étendre aux plus gros producteurs du Moyen-Orient.
Le document ajoutait: "Le point crucial reste le risque de contagion, les cours pouvant alors tutoyer des sommets historiques".
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 95.84 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.42%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.25 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Lors d'une déclaration télévisée diffusée mardi, Mouammar Kadhafi, dirigeant de longue date de la Libye, a assuré n'avoir aucune intention de laisser sa place ou de fuir le pays.
Il s'est engagé à combattre la rébellion jusqu'à sa "dernière goutte de sang" et à déployer la police et l'armée pour rétablir l'ordre.
La Libye est la détentrice des plus grands champs d'or noir de l'Afrique, et en extrait presque 1.6 millions de barils par jour.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2009.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le pétrole pour avril ont gagné 0.37% pour grimper à 106.81 USD du baril, soit 10.97 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Goldman Sachs, pourvoyeur international de services financiers, a indiqué dans un rapport publié dans la soirée de mardi que les Brent pourraient se trouver "entre 105 et 110 USD du baril dans les semaines à venir" si les troubles devaient se poursuivre et s'étendre aux plus gros producteurs du Moyen-Orient.
Le document ajoutait: "Le point crucial reste le risque de contagion, les cours pouvant alors tutoyer des sommets historiques".