Futures Pros - Les options sur l'or ont légèrement progressé ce mardi, ressortant de leur creux du jour alors que les investisseurs restaient concernés par le problème de la dette souveraine des membres périphériques de la zone euro.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont hissés à 1 360.35 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.07% après être tombés à 1 355.45 USD, leur plancher du jour.
L'inquiétude causée par les dettes des membres secondaires de la zone euro, notamment l'Irlande, restait présente, stimulant l'attrait de l'investissement dans le métal précieux comme alternative aux devises.
La Commerzbank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a affirmé lundi qu'il n'y avait "aucun doute que les craintes par rapport à la stabilité de certaines économies de la zone euro stimulent l'or, ce qui explique pourquoi son cours n'est pas nettement plus bas".
Elle a ajouté: "La demande aurifère est large et a peu de chances de diminuer l'année prochaine, notamment à cause des faibles taux d'intérêt, de la disponibilité des capitaux et de la peur de l'inflation en Asie."
La George Soros Fund Management LLC, dirigée par le multimilliardaire George Soros, a annoncé lundi qu'elle avait renforcé ses positions sur l'or au cours du troisième trimestre, après avoir pourtant appelé l'or "la bulle ultime" en septembre.
Soros a déclaré s'attendre à un recommencement des schémas historiques, les investissements rebondissant avec la hausse de l'or vers de nouveaux records, pour mieux retomber soudainement par la suite.
Les futures sur l'argent pour décembre ont quand à elles gagné 0.64% pour s'échanger dans le même temps à 25.66 USD l'once.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont hissés à 1 360.35 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.07% après être tombés à 1 355.45 USD, leur plancher du jour.
L'inquiétude causée par les dettes des membres secondaires de la zone euro, notamment l'Irlande, restait présente, stimulant l'attrait de l'investissement dans le métal précieux comme alternative aux devises.
La Commerzbank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a affirmé lundi qu'il n'y avait "aucun doute que les craintes par rapport à la stabilité de certaines économies de la zone euro stimulent l'or, ce qui explique pourquoi son cours n'est pas nettement plus bas".
Elle a ajouté: "La demande aurifère est large et a peu de chances de diminuer l'année prochaine, notamment à cause des faibles taux d'intérêt, de la disponibilité des capitaux et de la peur de l'inflation en Asie."
La George Soros Fund Management LLC, dirigée par le multimilliardaire George Soros, a annoncé lundi qu'elle avait renforcé ses positions sur l'or au cours du troisième trimestre, après avoir pourtant appelé l'or "la bulle ultime" en septembre.
Soros a déclaré s'attendre à un recommencement des schémas historiques, les investissements rebondissant avec la hausse de l'or vers de nouveaux records, pour mieux retomber soudainement par la suite.
Les futures sur l'argent pour décembre ont quand à elles gagné 0.64% pour s'échanger dans le même temps à 25.66 USD l'once.