Investing.com - Les options sur le brut ont compensé leurs pertes ce mercredi, rebondissant de leur creux des 2 dernières semaines alors que l'escalade de la violence au Bahreïn laissait à craindre une extension des troubles jusqu'à l'Arabie Saoudite, premier exportateur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 98.39 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 0.9%.
Le Bahreïn a en effet déclaré mardi l'état d'urgence pour 3 mois, après que la famille royale Al-Khalifa actuellement au pouvoir ait demandé aux 5 autres états membres du conseil de coopération du Golfe, et notamment à l'Arabie Saoudite, de mettre en place une force de sécurité commune afin d'aider à juguler les manifestations anti-gouvernementales.
Près de 1 000 soldats saoudiens étaient déjà entrés lundi sur le territoire du Bahreïn afin d'en soutenir les dirigeants sunnites.
Le royaume de Bahreïn extrait près de 500 000 barils quotidiens d'or noir, tandis que l'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et en produit environ 8.4 millions de barils par jour.
Les pertes auparavant subies par les cours du pétrole avaient été le fruit des incertitudes concernant la demande du Japon, le troisième consommateur mondial, celle-ci risquant de diminuer alors que le pays se trouvait mobilisé par la lutte pour éviter une catastrophe nucléaire.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait par ailleurs dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves de brut américaines pour la semaine achevée le 11 mars.
Celui-ci pourrait montrer une augmentation de 1.75 millions de barils, prolongeant les 2.5 millions engrangés la semaine précédente.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés hier avaient montré 900 000 barils supplémentaires en réserve pour la semaine passée.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont bondi de 1.37% pour grimper à 110.19 USD du baril, soit 11.8 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 98.39 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 0.9%.
Le Bahreïn a en effet déclaré mardi l'état d'urgence pour 3 mois, après que la famille royale Al-Khalifa actuellement au pouvoir ait demandé aux 5 autres états membres du conseil de coopération du Golfe, et notamment à l'Arabie Saoudite, de mettre en place une force de sécurité commune afin d'aider à juguler les manifestations anti-gouvernementales.
Près de 1 000 soldats saoudiens étaient déjà entrés lundi sur le territoire du Bahreïn afin d'en soutenir les dirigeants sunnites.
Le royaume de Bahreïn extrait près de 500 000 barils quotidiens d'or noir, tandis que l'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et en produit environ 8.4 millions de barils par jour.
Les pertes auparavant subies par les cours du pétrole avaient été le fruit des incertitudes concernant la demande du Japon, le troisième consommateur mondial, celle-ci risquant de diminuer alors que le pays se trouvait mobilisé par la lutte pour éviter une catastrophe nucléaire.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait par ailleurs dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves de brut américaines pour la semaine achevée le 11 mars.
Celui-ci pourrait montrer une augmentation de 1.75 millions de barils, prolongeant les 2.5 millions engrangés la semaine précédente.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés hier avaient montré 900 000 barils supplémentaires en réserve pour la semaine passée.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont bondi de 1.37% pour grimper à 110.19 USD du baril, soit 11.8 USD de mieux que leurs homologues américaines.