Investing.com - Les options sur le pétrole brut ont vu s'achever ce jeudi une série de quatre jours de progression après que les investisseurs aient commencé à capitaliser sur les gains liés au pic des 26 derniers mois atteint hier, le volume des échanges restant faible à l'approche des fêtes de fin d'année.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 90.61 USD le baril en première partie de séance européenne, se laissant rogner 0.06%.
Ils avaient auparavant culminé à 90.76 USD, un maximum journalier très proche du sommet à 90.78 USD datant de mecredi.
Les cours avaient effectivement grimpé à ce moment-là vers leur meilleur cours depuis le 7 octobre 2008, encourageant les traders à engranger des profits avant que l'année s'achève.
Le temps glacial prévu pour les Etats-Unis a toutefois empêché de trop grosses pertes, le fournisseur d'informations météorologiques AccuWeather déclarant prévoir des températures généralement inférieures aux normales saisonnières dans le nord-est pour la semaine à venir.
Le service météorologique national des Etats-Unis a annoncé en début de semaine s'attendre à ce que la demande du pays soit de 4.6% supérieure à son niveau habituel pour la semaine devant prendre fin le 25 décembre, au lieu des 19.6% enregistrés lors de la précédente.
La côte est reste le plus gros marché américain pour le fioul, dont 42 gallons, soit environ 160 litres, sont produits à partir d'un baril de brut.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié mercredi que les réserves nationales de pétrole brut avaient nettement plus baissé au cours de la semaine achevée le 17 décembre que prévu, perdant 5.3 millions de barils alors que les experts s'étaient attendus à ne les voir descendre que de 1.1 millions de barils.
Il était aussi indiqué que les stocks de carburants distillés, incluant fioul domestique et diesel, avaient perdu 0.6 millions dans le même temps.
L'étude précisait par ailleurs que la demande d'or noir était en hausse, avec une moyenne sur les 4 dernières semaines de 19.7 millions de barils fournis par jour de pétrole et dérivés, soit 4.1% de plus que l'année dernière à la même époque.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier ont quand à elles perdu 1.05% pour s'échanger à 4.082 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour le même mois ont dérapé de 0.15% pour s'établir à 2.526 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 90.61 USD le baril en première partie de séance européenne, se laissant rogner 0.06%.
Ils avaient auparavant culminé à 90.76 USD, un maximum journalier très proche du sommet à 90.78 USD datant de mecredi.
Les cours avaient effectivement grimpé à ce moment-là vers leur meilleur cours depuis le 7 octobre 2008, encourageant les traders à engranger des profits avant que l'année s'achève.
Le temps glacial prévu pour les Etats-Unis a toutefois empêché de trop grosses pertes, le fournisseur d'informations météorologiques AccuWeather déclarant prévoir des températures généralement inférieures aux normales saisonnières dans le nord-est pour la semaine à venir.
Le service météorologique national des Etats-Unis a annoncé en début de semaine s'attendre à ce que la demande du pays soit de 4.6% supérieure à son niveau habituel pour la semaine devant prendre fin le 25 décembre, au lieu des 19.6% enregistrés lors de la précédente.
La côte est reste le plus gros marché américain pour le fioul, dont 42 gallons, soit environ 160 litres, sont produits à partir d'un baril de brut.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié mercredi que les réserves nationales de pétrole brut avaient nettement plus baissé au cours de la semaine achevée le 17 décembre que prévu, perdant 5.3 millions de barils alors que les experts s'étaient attendus à ne les voir descendre que de 1.1 millions de barils.
Il était aussi indiqué que les stocks de carburants distillés, incluant fioul domestique et diesel, avaient perdu 0.6 millions dans le même temps.
L'étude précisait par ailleurs que la demande d'or noir était en hausse, avec une moyenne sur les 4 dernières semaines de 19.7 millions de barils fournis par jour de pétrole et dérivés, soit 4.1% de plus que l'année dernière à la même époque.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier ont quand à elles perdu 1.05% pour s'échanger à 4.082 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour le même mois ont dérapé de 0.15% pour s'établir à 2.526 USD par gallon dans le même temps.