Investing.com - Les options sur le brut ont vu leurs gains contrés ce lundi, tombant dans un creux du jour alors que les investisseurs empochaient leurs plus-values pour profiter du bond ayant mené les prix à leur plus haut niveau des 2 dernières semaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 89.3 USD le baril en première partie de séance européenne, glissant de 0.17%.
Ils avaient auparavant culminé à 90.82 USD, leur cours le plus élevé depuis le 20 janvier.
Les traders ont revendu leurs contrats afin d'assurer des bénéfices après que ceux-ci aient connu vendredi leur plus forte avancée des 16 derniers mois, les tensions politiques se poursuivant en Egypte menaçant de mettre fin aux 30 ans de règne du président Hosni Moubarak, et déclenchant la crainte d'une extension de la crise aux producteurs de pétrole voisins.
La peur d'une perturbation des envois passant par le canal de Suez a toutefois été apaisée par l'organisme en assumant la gestion, assurant que l'agitation n'avait pas eu de conséquences sur le trafic.
Abdul Ghani Mohamed Mahmoud, directeur des relations publiques de l'autorité du canal de Suez a en effet affirmé en début de journée que "le volume du trafic moyen de ces derniers jours est resté semblable à celui des périodes précédant les évènements", ajoutant aussi que "le canal est défendu par des gardes armés, personne ne peut en approcher, et tout se déroule comme d'habitude".
Environ 2 millions de barils par jour transitent par lui, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis, et l'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie dévoilé ce mois-ci.
Goldman Sachs, pourvoyeur international de services financiers, a déclaré dans un article dévoilé dans la matinée que les risques de l'extension des violences à l'encontre des gouvernements dans les pays voisins de l'Egypte et d'une mise à mal des livraisons mondiales d'or noir étaient "faibles".
Le texte précisait par ailleurs: "Même si des problèmes devaient affecter un des pays producteurs de pétrole, l'approvisionnement en énergie de s'en trouverait pas nécessairement perturbé, l'histoire ayant montré que l'activité du secteur pouvait se poursuivre malgré les pires conditions politiques".
Les futures sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs dérapé de 0.18% pour s'échanger à 4.322 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont plongé de 0.77% pour s'établir à 2.676 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 89.3 USD le baril en première partie de séance européenne, glissant de 0.17%.
Ils avaient auparavant culminé à 90.82 USD, leur cours le plus élevé depuis le 20 janvier.
Les traders ont revendu leurs contrats afin d'assurer des bénéfices après que ceux-ci aient connu vendredi leur plus forte avancée des 16 derniers mois, les tensions politiques se poursuivant en Egypte menaçant de mettre fin aux 30 ans de règne du président Hosni Moubarak, et déclenchant la crainte d'une extension de la crise aux producteurs de pétrole voisins.
La peur d'une perturbation des envois passant par le canal de Suez a toutefois été apaisée par l'organisme en assumant la gestion, assurant que l'agitation n'avait pas eu de conséquences sur le trafic.
Abdul Ghani Mohamed Mahmoud, directeur des relations publiques de l'autorité du canal de Suez a en effet affirmé en début de journée que "le volume du trafic moyen de ces derniers jours est resté semblable à celui des périodes précédant les évènements", ajoutant aussi que "le canal est défendu par des gardes armés, personne ne peut en approcher, et tout se déroule comme d'habitude".
Environ 2 millions de barils par jour transitent par lui, partant du nord de l'Afrique vers les Etats-Unis, et l'agence d'information sur l'énergie américaine a classé ce site comme l'un des 7 "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives du marché de l'énergie dévoilé ce mois-ci.
Goldman Sachs, pourvoyeur international de services financiers, a déclaré dans un article dévoilé dans la matinée que les risques de l'extension des violences à l'encontre des gouvernements dans les pays voisins de l'Egypte et d'une mise à mal des livraisons mondiales d'or noir étaient "faibles".
Le texte précisait par ailleurs: "Même si des problèmes devaient affecter un des pays producteurs de pétrole, l'approvisionnement en énergie de s'en trouverait pas nécessairement perturbé, l'histoire ayant montré que l'activité du secteur pouvait se poursuivre malgré les pires conditions politiques".
Les futures sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs dérapé de 0.18% pour s'échanger à 4.322 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont plongé de 0.77% pour s'établir à 2.676 USD par gallon dans le même temps.