Investing.com - Les options sur le pétrole étaient à la hausse ce mardi, rebondissant d'un creux des deux derniers jours de cotation, l'absence d'apaisement au Moyen-Orient laissant planer le doute concernant les livraisons en provenance des producteurs de la région.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 97.28 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.41%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.59 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Les manifestants anti-gouvernement ont défilé dans les rues iraniennes ce mardi, après que Mehdi Karoubi et Mir Hossein Moussavi, les principaux chefs de l'opposition, aient été incarcérés hier par le gouvernement de Téhéran.
L'Iran, quatrième extracteur d'or noir du monde et second exportateur parmi les membres de l'OPEP, en produit environ 3.7 millions de barils quotidiens.
L'Agence Internationale de l'Energie avait pour sa part annoncé dans la matinée que les émeutes libyennes avaient forcé le pays à renoncer à un volume pouvant aller jusqu'à 850 000 barils par jour.
Barclays, pourvoyeur international de services financiers, a estimé la semaine passée ce manque à gagner à 1 million de barils et son rival Goldman Sachs le situait à 500 000.
La Libye est la détentrice des plus grands champs d'or noir de l'Afrique, et en extrait presque 1.6 millions de barils par jour.
Les cours du pétrole avaient pourtant arrêté leur escalade après que l'Arabie Saoudite ait fait savoir qu'elle avait augmenté sa production afin de compenser l'absence d'une partie de l'approvisionnement libyen.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2009.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.59% pour grimper à 112.31 USD du baril, soit 15.03 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 97.28 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.41%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.59 USD, leur cours le plus élevé du jour.
Les manifestants anti-gouvernement ont défilé dans les rues iraniennes ce mardi, après que Mehdi Karoubi et Mir Hossein Moussavi, les principaux chefs de l'opposition, aient été incarcérés hier par le gouvernement de Téhéran.
L'Iran, quatrième extracteur d'or noir du monde et second exportateur parmi les membres de l'OPEP, en produit environ 3.7 millions de barils quotidiens.
L'Agence Internationale de l'Energie avait pour sa part annoncé dans la matinée que les émeutes libyennes avaient forcé le pays à renoncer à un volume pouvant aller jusqu'à 850 000 barils par jour.
Barclays, pourvoyeur international de services financiers, a estimé la semaine passée ce manque à gagner à 1 million de barils et son rival Goldman Sachs le situait à 500 000.
La Libye est la détentrice des plus grands champs d'or noir de l'Afrique, et en extrait presque 1.6 millions de barils par jour.
Les cours du pétrole avaient pourtant arrêté leur escalade après que l'Arabie Saoudite ait fait savoir qu'elle avait augmenté sa production afin de compenser l'absence d'une partie de l'approvisionnement libyen.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a déclaré que les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient étaient responsables de 36% de la production mondiale et abritaient 61% des réserves prouvées en 2009.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.59% pour grimper à 112.31 USD du baril, soit 15.03 USD de mieux que leurs homologues américaines.