Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents tout en consolidant un pic semestriel par rapport à son homologue nippon ce jeudi après-midi, l'européen l'amenant cependant vers une ornière mensuelle, les places américaines demeurant closes à l'approche de la fête de Thanksgiving.
En seconde partie de séance européenne, le yen a encore fléchi devant lui, l'USD/JPY grignotant 0,15% pour se retrouver à 102,30, son plus haut niveau dpuis le 29 mai.
La devise nippone demeurait ainsi sur la défensive alors que la Banque du Japon semblait devoir redoubler d'efforts pour atteindre les 2% d'inflation visés d'ici 2015.
Sayuri Shirai, membre de son conseil directeur, avait estimé à l'aube que cet objectif pourrait être difficile à remplir, en raison des risques d'essoufflement de la croissance, dont elle surveillera les signes avant-coureurs de près.
Son adversaire profitait toujours quand à lui des rumeurs saugrenues selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait bientôt réduire la voilure de ses rachats d'actifs mensuels, qui finiront sans doute avérées un jour.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,11% pour grimper à 1,3595, aux abords de sa plus forte valeur depuis le 31 octobre.
Ce dernier n'a guère fait cas des 10.000 demandeurs d'emploi supplémentaires enregistrés ce mois-ci en Allemagne, au lieu des 1.000 déjà redoutés, tandiss que son taux de chômage demeurait stable à 6,9%.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,33% pour se hisser à 1,6339, son plus sommet de plus élevé depuis août 2011.
La Banque d'Angleterre avait donné un coup de fouet supplémentaire à la devise de la Grande-Bretagne en annonçant la réduction prochaine de son plan de financement des prêts lancé l'année dernière pour encourager les hypothèques, par crainte du développement d'une bulle immobilière.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9057.
Les autorités helvètes avaient auparavant révélé que le produit intérieur brut de la confédération avait augmenté de 0,5% entre début juillet et fin septembre et de 1,9% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,4 et 1,7% anticipés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,43% pour monter à 0,9119, le NZD/USD engrangeant 0,18% pour culminer à 0,8163 et l'USD/CAD régressant de 0,13% pour aller vers 1,0579.
La première avair retrouvé de couleurs après qu'il ait été montré à l'aube que les nouveaux investissements de capitaux privés en Australie avaient réalisé leur second bond d'affilée au troisième trimestre, tandis que l'activité manufacturière se trouvait regonflée pour la première fois des huit derniers.
Il était aussi à noter que le baromètre du climat des affaires de la Nouvelle-Zélande établi par la banque ANZ avait bondi depuis 53,2 jusqu'à 60,5 pour novembre, sa plus forte valeur en quinze ans, tiré vers le haut par les ventes au détail et les espoirs de renforcement de la rentabilité.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,16% pour se situer à 80,59.
En seconde partie de séance européenne, le yen a encore fléchi devant lui, l'USD/JPY grignotant 0,15% pour se retrouver à 102,30, son plus haut niveau dpuis le 29 mai.
La devise nippone demeurait ainsi sur la défensive alors que la Banque du Japon semblait devoir redoubler d'efforts pour atteindre les 2% d'inflation visés d'ici 2015.
Sayuri Shirai, membre de son conseil directeur, avait estimé à l'aube que cet objectif pourrait être difficile à remplir, en raison des risques d'essoufflement de la croissance, dont elle surveillera les signes avant-coureurs de près.
Son adversaire profitait toujours quand à lui des rumeurs saugrenues selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait bientôt réduire la voilure de ses rachats d'actifs mensuels, qui finiront sans doute avérées un jour.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,11% pour grimper à 1,3595, aux abords de sa plus forte valeur depuis le 31 octobre.
Ce dernier n'a guère fait cas des 10.000 demandeurs d'emploi supplémentaires enregistrés ce mois-ci en Allemagne, au lieu des 1.000 déjà redoutés, tandiss que son taux de chômage demeurait stable à 6,9%.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,33% pour se hisser à 1,6339, son plus sommet de plus élevé depuis août 2011.
La Banque d'Angleterre avait donné un coup de fouet supplémentaire à la devise de la Grande-Bretagne en annonçant la réduction prochaine de son plan de financement des prêts lancé l'année dernière pour encourager les hypothèques, par crainte du développement d'une bulle immobilière.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9057.
Les autorités helvètes avaient auparavant révélé que le produit intérieur brut de la confédération avait augmenté de 0,5% entre début juillet et fin septembre et de 1,9% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,4 et 1,7% anticipés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,43% pour monter à 0,9119, le NZD/USD engrangeant 0,18% pour culminer à 0,8163 et l'USD/CAD régressant de 0,13% pour aller vers 1,0579.
La première avair retrouvé de couleurs après qu'il ait été montré à l'aube que les nouveaux investissements de capitaux privés en Australie avaient réalisé leur second bond d'affilée au troisième trimestre, tandis que l'activité manufacturière se trouvait regonflée pour la première fois des huit derniers.
Il était aussi à noter que le baromètre du climat des affaires de la Nouvelle-Zélande établi par la banque ANZ avait bondi depuis 53,2 jusqu'à 60,5 pour novembre, sa plus forte valeur en quinze ans, tiré vers le haut par les ventes au détail et les espoirs de renforcement de la rentabilité.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,16% pour se situer à 80,59.