Wall Street finit à l'équilibre... si l'on fait la moyenne des 3 principaux indices et si l'on se fie au Russel-2000 qui finit en hausse de... +0,0035% (moins de +0,01%, quelle précision).
Dans ces conditions, se serait-il produit une minuscule erreur de programmation algorithmique concernant le 'S&P' (la faute au baril retombé sous 49,5$ qui a plombé Transocéan et quelques parapétrolières) ?
La hausse qui s'est enclenchée à une demi-heure de la clôture a ramené le S&P500 à 2.009,7, à 0,6Pts de son record de clôture de vendredi (2.010,3).
Un écart ridicule de moins de 0,03% qui ne permet pas d'inscrire in extremis un nouveau record de clôture alors que le Nasdaq Composite (+0,1%) s'en offre un de plus à 4.961Pts (les 5.000Pts ne sont plus qu'à 1%... une simple formalité), le Nasdaq-100 avançant de +0,14% à 4.450Pts.
C'est Apple qui a fait la différence avec un gain de +2,7% à 133$, ce qui a compensé les replis de Tesla -4,5%, Citrix -3,9%, Micron -2%, Intel -1,9%, Yahoo-1,3%.
Apple a vu sa capitalisation franchir la barre des 750Mds$, soit plus de la moitié de la capitalisation du CAC40 (qu'on l'exprime en Dollar ou en Euro).
Le Dow Jones a cédé -0,13% à 18.117 (il n'a jamais été 'dans le coup' durant toute la séance), peut être plombé par Boeing (-2,3% suite à une dégradation de Goldman Sachs) et peut-être déçu par la chute de -4,9E des reventes de logements anciens aux Etats Unis (à 4,82 millions contre 5 millions anticipé).
Peut être un peu de prudence également à la veille de l'audition de Janet Yellen (pour son 'témoignage économique' bisannuel) par des parlementaires du Sénat... un exercice qu'elle rééditera mercredi devant la Chambre des représentants.
Les opérateurs espèrent déceler des indices sur le calendrier d'une normalisation de la politique monétaire de la FED... mais dans l'idéal, Mme Yellen répètera qu'elle doit se montrer patiente, que l'inflation n'est pas une menace, que la croissance reste par certains aspects un peu fragile.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Dans ces conditions, se serait-il produit une minuscule erreur de programmation algorithmique concernant le 'S&P' (la faute au baril retombé sous 49,5$ qui a plombé Transocéan et quelques parapétrolières) ?
La hausse qui s'est enclenchée à une demi-heure de la clôture a ramené le S&P500 à 2.009,7, à 0,6Pts de son record de clôture de vendredi (2.010,3).
Un écart ridicule de moins de 0,03% qui ne permet pas d'inscrire in extremis un nouveau record de clôture alors que le Nasdaq Composite (+0,1%) s'en offre un de plus à 4.961Pts (les 5.000Pts ne sont plus qu'à 1%... une simple formalité), le Nasdaq-100 avançant de +0,14% à 4.450Pts.
C'est Apple qui a fait la différence avec un gain de +2,7% à 133$, ce qui a compensé les replis de Tesla -4,5%, Citrix -3,9%, Micron -2%, Intel -1,9%, Yahoo-1,3%.
Apple a vu sa capitalisation franchir la barre des 750Mds$, soit plus de la moitié de la capitalisation du CAC40 (qu'on l'exprime en Dollar ou en Euro).
Le Dow Jones a cédé -0,13% à 18.117 (il n'a jamais été 'dans le coup' durant toute la séance), peut être plombé par Boeing (-2,3% suite à une dégradation de Goldman Sachs) et peut-être déçu par la chute de -4,9E des reventes de logements anciens aux Etats Unis (à 4,82 millions contre 5 millions anticipé).
Peut être un peu de prudence également à la veille de l'audition de Janet Yellen (pour son 'témoignage économique' bisannuel) par des parlementaires du Sénat... un exercice qu'elle rééditera mercredi devant la Chambre des représentants.
Les opérateurs espèrent déceler des indices sur le calendrier d'une normalisation de la politique monétaire de la FED... mais dans l'idéal, Mme Yellen répètera qu'elle doit se montrer patiente, que l'inflation n'est pas une menace, que la croissance reste par certains aspects un peu fragile.
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