Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, grâce aux belles performances allemandes de la veille et de bonnes nouvelles chinoises, tandis que son adversaire pâtissait des rumeurs sur les orientations futures de son émettrice.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,28%, le CAC 40 français de 0,04%, et le DAX 30 allemand de 0,28%.
Les valeurs régionales avaient retrouvé des couleurs, après que l'Allemagne ait signalé jeudi 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais aussi 0,8% d'importations en moins, laissant redouter un dégonflement de la demande nationale.
Le moral est aussi remonté après qu'il ait été signalé ce vendredi que la production industrielle de la Chine avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Mais la prudence restait de mise après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
La finance était en difficulté, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,59%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,12 et 0,07%.
Il n'en allait pas de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,18 et 0,33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,68 et 0,70%.
Le manufacturier de pneus finnois Nokian Renkaat Oyj s'élevait de 3,09%, malgré l'aveu de bénéfices inférieurrs aux estimations pour le second trimestre et des objectifs annuels rabaissés pour 2013.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,35%, tiré vers le haut par l'offensive de ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,61 et 2,58%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources n'étaient pas en reste avec 3,11 et 4,71%.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, la Royal Bank of Scotland reculant de 0,19%, et Barclays de 0,74%, tandis que HSBC Holdings grimpait de 0,65%, et Lloyds Banking de 1,07%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,01%.
Il était aussi à noter que la production industrielle française avait plongé de 1,4% pour le sixième mois de l'année, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré, tandis que celle du précédent était révisée positivement, limitant son érosion de 0,4 à 0,3%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,28%, le CAC 40 français de 0,04%, et le DAX 30 allemand de 0,28%.
Les valeurs régionales avaient retrouvé des couleurs, après que l'Allemagne ait signalé jeudi 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais aussi 0,8% d'importations en moins, laissant redouter un dégonflement de la demande nationale.
Le moral est aussi remonté après qu'il ait été signalé ce vendredi que la production industrielle de la Chine avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Mais la prudence restait de mise après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
La finance était en difficulté, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,59%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,12 et 0,07%.
Il n'en allait pas de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,18 et 0,33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,68 et 0,70%.
Le manufacturier de pneus finnois Nokian Renkaat Oyj s'élevait de 3,09%, malgré l'aveu de bénéfices inférieurrs aux estimations pour le second trimestre et des objectifs annuels rabaissés pour 2013.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,35%, tiré vers le haut par l'offensive de ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,61 et 2,58%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources n'étaient pas en reste avec 3,11 et 4,71%.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, la Royal Bank of Scotland reculant de 0,19%, et Barclays de 0,74%, tandis que HSBC Holdings grimpait de 0,65%, et Lloyds Banking de 1,07%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,01%.
Il était aussi à noter que la production industrielle française avait plongé de 1,4% pour le sixième mois de l'année, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré, tandis que celle du précédent était révisée positivement, limitant son érosion de 0,4 à 0,3%.